Aujourd’hui, Rennes à coup de cœur vous propose de partir la découverte de la marque Parisrennes.

C’est autour d’un verre que nous rencontrons Antoinette Parrau. A 35 ans, cette rennaise  d’adoption lance sa marque il y a un an et demi. Très enthousiaste, elle nous raconte en toute sérénité. Ancienne étudiante des beaux-arts, c’est à Rennes qu’elle décide de devenir designer indépendante. « Le design, c’est mon truc, ma passion ! »

Un jour, elle décide d’expérimenter de petites choses, qui vont devenir une vraie grande  marque. « D’une petite inspiration, c’est devenu un énorme projet. » Chapeau bas à l’artiste, vu la situation de la marque aujourd’hui ! Son atelier est tout simplement son  appartement. « Je crée, je conçois chez moi. Je m’y sens bien. Le fait d’ouvrir une boutique  n’est pas mon objectif. Je suis dans une autre énergie. » Pas de point de vente à Rennes, donc. Cependant, vous pouvez retrouver ces petits bijoux dans des boutiques et des concepts-stores à Paris tels que Arty Dandy, By Mutation, et Gilbert Gilbert. Ils sont aussi disponibles  en ligne (Monshowroom) ainsi qu’aux quatre coins du monde : Japon, Italie, Belgique… Et  oui, notre créatrice rennaise a de l’ambition.

C’est dans notre capitale que commence l’histoire de Parisrennes. En contactant la boutique Arty Dandy à Paris, elle ne s’imagine pas encore que ses bijoux vont briller. Mais c’est chose fait maintenant ! Ses œuvres sont faites de fils haut de gamme en polyester ou polyamide avec une petite touche dorée ou argentée selon les goûts. « Le fait que le fil soit résistant et de bonne qualité définit le côté luxe de mes produits». Vous trouverez des créations entre 45 et 120 euros dans chaque collection. Les 20 couleurs aussi sympas les unes que les autres vous épateront. Optez pour un beige l’hiver et pour une couleur fluo l’été. Dans la mesure du possible, les couleurs peuvent être à la demande. « Pour la petite anecdote, un jour des japonais m’ont demandé si je ne pouvais pas faire mes bijoux dans la couleur blanche. Car ayant une culture différente, le blanc est assimilable au noir en occident. J’ai trouvé ça marrant de confronter deux cultures à travers mes bijoux ».

Quelles sont tes inspirations ? «  Je fais toujours un travail sur la lumière, je voulais que mes créations soient lumineuses, qu’elles soient colorées et dynamiques. J’ai beaucoup réfléchi aussi sur les proportions. Le fait de les faire de telle ou telle grandeur, le fait de rallier la touche argenté sont de véritables réflexions. Le fil peut être pour moi, la continuité entre Paris et Rennes, cet aspect est aussi très important, car c’est mon fil conducteur. »

Et comment décrirais-tu tes bijoux ? « Chic, dynamique, light, minimal, doux, léger. A la base je n’aimais pas les bijoux, je ne les supportais pas. J’ai décidé de les concevoir comme j’aimerais les porter. C’est à dire fins, légers, pour qu’ils soient une seconde peau. Qu’on ne les enlève jamais, qu’ils se remarquent mais qu’ils ne gênent pas. » Original !

C’est donc épanouie et pleine de projets que l’on quitte Antoinette à qui l’on souhaite toute la réussite possible. Sa nouvelle collection sera visible dès septembre 2013 mais sortira en exclu dans quelques points de vente au printemps. Chers internautes, à vous de partir à sa recherche !

Facebook
Site web 

Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du 19 mars au 24 mars).

Conférence débat – Mardi 18 mars à partir de 18h30 – Lieu : Maison International de Rennes

Gils Demoulin, maître de conférences en droit public à Science Po Rennes et co-organisateur du colloque international «la décision financière publique», interviendra sur la politique budgétaire, sa problématique et ses marges de manœuvre à la Maison Internationale de Rennes, 7 quai de Chateaubriand, le mardi 19 mars à 18h30.

Cette conférence-débat est organisée par le Think Tank POLITEIA, spécialisé dans la prospection politique et la production d’une expertise opérationnelle.

Lire la suite

C’est vendredi soir que s’est déroulée la soirée de lancement du dixième numéro d’Honnête magazine qui avait lieu à la DMA galerie située rue de Châteaudun à Rennes. L’occasion pour Honnête de fêter son troisième anniversaire et d’exposer certaines des photographies réalisées pour la revue. La soirée était rythmée par deux DJ, Chambry et Fox, et l’ambiance était ouverte à l’échange et à la convivialité. L’un des photographes était présent, engagé récemment comme directeur artistique du magazine. Il travaille en collaboration avec une équipe de photographe pour Honnête et prenait des photos de la soirée de lancement.

« L’équipe de départ souhaitait créer un magazine différent de tout ceux que l’on pouvait trouver à Rennes. Les revues dans notre ville sont pour la plupart des magazines gratuits et ils ne contiennent pas

Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du 11 mars au 16 mars).

Feochán – Mardi 12 Mars à partir de 12h – Lieu: Le diapason, Campus Rennes II

Pour fêter la St Patrick, le Diapason accueille le groupe de musique traditionnelle irlandaise Feochán.

Lire la suite

Le festival Jazz à l’étage, qui se déroulera du mercredi 13 au dimanche 17 mars 2013, à Rennes et Saint Malo, propose une programmation éclectique, mettant en lumière Malo Mazurié, jeune trompettiste prodige, qui jouera deux fois, le 15 mars (à Cesson-Sévigné) et le 16 mars (à Saint Malo). 

►►De la BD au jazz, en passant par le carton !

Résidant actuellement à Paris, et bien connu de sa scène jazz (Le duc des Lombards, Le Sunset-Sunside, Le Caveau de la Huchette…) Malo Mazurié a longtemps vécu en Bretagne.

À l’âge de sept ans, il tente de fabriquer une trompette en carton, souhaitant imiter une cavalerie illustrée dans une BD, et dont le titre exact restera dans les fonds opaques de sa mémoire. Rapidement déçu des possibilités musicales offertes par le carton, Malo Mazurié dégote enfin, une vieille trompette dans le grenier de sa grand-mère antiquaire.

Lire la suite

Les deux collaboratrices Dorothée Petroff et Alisée Casanova nous ont accueillies jeudi soir au Jardin Moderne, pour l’inauguration de la première revue d’Epoka, projet de l’association éponyme créée en Novembre dernier.

Lire la suite

Nous partons aujourd’hui à la découverte d’une nouvelle marque rennaise, FAT WHAT. Focus sur un nouveau concept.

FAT WHAT, c’est un projet. Un projet qui nous vient de deux étudiants rennais, César Gomez et Mileno Guillorel-Obregón. Création de t-shirts qui part « d’un bon délire entre potes », mais qui maintenant, devient quelque chose de plus sérieux. C’est l’alliance de deux univers, d’un binôme original. Le but est non-lucratif, l’essentiel est de faire quelque de chose de professionnel, de propre. « Ce projet c’est aussi la véritable création d’un monde, d’un monde sympa à notre image. C’est ce qu’on souhaite retranscrire à travers nos photos et nos vidéos que l’on ajoute parallèlement à nos créations. »

Le projet est construit de A à Z par ces deux acolytes. Leurs talents innovateurs passent aussi par la photo, la mise en page, la création de site et bien évidemment la mise en forme des t-shirts. Attention chers internautes, vous pourrez bientôt retrouver leurs sweaters sur leur site: ici. Un e-shop est mis à disposition depuis le 1^er janvier 2013. Leurs éditions sont en très petite quantité, ce qui fait aussi l’originalité de la marque. Vous l’aurez remarqué, concept tout nouveau, mais qui émerge vite et bien à Rennes.

D’où viennent leurs inspirations ? « Au gré de nos aventures, au cours de nos vies, on s’inspire des faits qui se passent autour de nous » Très observateurs, ils voient la vie autrement depuis le concept FAT WHAT, car un rien les inspire. Leurs photos personnelles sont souvent les premiers designs plaqués sur leurs créations. « Nous n’avons aucune règle, si c’est bien sur le moment, si ça nous fait plaisir, alors on va concrétiser la chose en la mettant sur du textile. Tout instant de vie peut se retrouver sur nos vêtements ». Les photos gardent tout de même une certaine originalité, car les fondateurs adorent « les choses délurées. » Ce projet qui leur tient à cœur s’est créé à deux mais souvent, amis, amis d’amis collaborent pour apporter une aide et une touche nouvelle à cet univers déjanté.

Oui, car il faut savoir qu’ils ne font pas uniquement des t-shirts. Tout peut être à la demande. Tant qu’un graphisme plaît, il est possible de le dupliquer sur toute forme de vêtements. C’est aussi ça la force de FAT WHAT ! Ce qui leur plaît, c’est qu’ils ne mettent pas de définition sur ce qu’ils font. Leur but premier est vraiment de prendre les événements comme ils viennent. « C’est indéfinissable, et c’est ça qu’on aime. Pour une fois, pas de définition sur une chose concrète ! »

Avec un style tout de même jeune, ils espèrent toucher plus de monde dans les mois à venir.

Ouvert à tout type de partenariat, de collaborations, n’hésitez à proposer des idées, à participer à cette association d’univers. À l’avenir FAT WHAT vous réserve beaucoup de surprises, notamment des nouveaux visuels, et peut-être même des soirées exclusives, des FAT PARTY qui sait… Affaire à suivre.

Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du lundi 4 mars au 10 mars)

Le festival K-barré vous propose un parcours de vernissage le lundi 4 mars entre 18h et 20h30.

Il s’agit en effet d’un parcours entre les divers lieux d’exposition à l’intérieur de l’Université de Rennes II, Salle Jarry, Hall bât. L, Hall bât.O et Kiosque de Martone bât. B. C’est également l’occasion de discuter autour d’un verre et d’un buffet, des œuvres proposées par nos talentueux créateurs étudiants.

Les artistes présents seront les Angevins du collectif Je t’aime, Lucile Guillory, Hélène Travert, Caroline Le Saux, Mélissande Sérignac et Gabriel Ahumada.

Et comme toujours à K-barré, c’est gratuit, joli, et on y mange bien.

Lire la suite