Créatrice d’accessoires, de mode et de déco, Amélie vous propose d’arpenter son monde poétique et coloré à mi-chemin entre la femme et l’enfant. Laissez-vous tenter par les bijoux, les bonnets, les sacs, ou les fleurs en papier…
Vous y trouverez de quoi satisfaire toutes vos envies ; cadeaux de naissance, illustrations sur mesure pour immortaliser vos grands 
évènements, et
 un mélange de stylisme, dessins, créations textiles, collages, broderies,
 et bien d’autres choses encore…. « C’est bon pour c’que t’as », c’est aussi des commandes spéciales et sur-mesure. 

Pourquoi ce nom si original ?
« Il est arrivé comme une évidence, lorsque j’étais en BTS arts appliqués. On travaillait souvent sur des collections de vêtements en se posant la question de l’appellation. Cette petite phrase m’a sauté de la bouche. C’est une phrase que j’ai beaucoup entendu enfant, en rapport avec l’alimentation : « mange, c’est bon pour c’que t’as ! » Elle est restée et puis, il y aussi un rapport avec l’achat, on craque aussi pour se faire du bien au moral. Une grande histoire de gourmandises ! »

Peux-tu nous en dire un peu plus sur ta nouvelle collection ?
«Concernant la nouvelle collection, vous aurez toutes les surprises au Brunch, car je ne dévoilerais rien avant ! .»

Pour toi, quel serait le point fort de “c’est bon pour c’que t’as” ?
« Ma marque est fait main, que des points positifs, plus aucune hésitation possible…»

 

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 Vendredi soir à l’UBU, se tenait le concert du label pop rock, Kitsuné (Juvéniles, Two door cinéma club, Housse de racket, citizens!, is tropical etc.. ). Un rendez-vous immanquable pour tout les mordus, d’éléctro-pop rennais. Une bonne ambiance dès le début avec le groupe Jupiter, qui nous a fait danser sur leurs mélanges de mix électro-pop. La suite était assurée par le groupe Anoraak, et le groupe Logo. Nous avons interviewés certains fans d’éléctros du concert Kitsuné, nous vous laissons découvrir ça et avoir un petit aperçu du concert pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister puisque ce dernier affichait complet…

Votre concert préféré à Rennes ?
Fanny : Woodkid (Liberté)
Cassandre : Housse de racket (Cité)
Shirley : Gramatik (Rock’n’Solex)
Maëva : Ce sera mon premier concert, donc le meilleur !

Ton concert préféré à Rennes ?
Julia : Fauve au Liberté

Votre concert préféré à Rennes ?
Daphnée : Les Trans, et j’adore les concerts au Liberté.
Théophile : Rock’n’Solex.

Votre concert préféré à Rennes ?
Marie : Wax Tailor!
Bertille : Les trans, et Fakear.

On continue la présentation des créateurs que vous pourrez retrouver à notre Brunch, le 18 mai prochain. Aujourd’hui, c’est au tour de Déborah, créatrice de la marque Bobby & Luisa, spécialisée dans la maroquinerie. Créée en 2011, Bobby & Luisa propose des pièces à la fois chics et décalées qui aspirent à la découverte. Présentation de la créatrice, pour qui le voyage est une véritable source d’inspiration.

Qui se cache derrière Bobby & Luisa ?

Je m’appelle Déborah. J’ai grandi à Marrakech, j’ai baigné dans l’univers de la maroquinerie depuis ma naissance (mes grands-parents et parents ont toujours travaillé dans le cuir).

Comment est né Bobby & Luisa ?

J’avais envie de créer une marque, de me lancer dans un nouveau projet, et comme j’aime la mode, les sacs, le cuir, c’est tout naturellement que l’idée de créer une marque de maroquinerie (sacs, pochettes, accessoires…) est venue.

Quelles sont les particularités des créations de Bobby & Luisa ?

Les articles sont fabriqués avec des cuirs pleine fleur, ou fleur corrigée de premier choix, des cuirs bovins, ovins et caprins, voilés. Tous les articles sont fabriqués avec minutie dans mes ateliers au Maroc.

Par ailleurs, l’univers de Bobby & Luisa est plutôt décalé, j’allie le côté punk rock du cuir au côté mode chic parisien.
Les pièces Bobby & Luisa sont destinées à toutes celles qui portent des sacs, c’est-à-dire à toutes les femmes, celles qui aiment la mode, la joie, la couleur, le noir, les clous, les fleurs, le cuir, les voyages, etc …

Quelles sont tes inspirations ?

Mon inspiration vient beaucoup des peaux que je choisis, des imprimés, des coloris. J’adore fouiller chez les marchands de peaux et quand ça me plait, j’achète et je stocke. L’inspiration vient après.

Des indices sur la dernière collection ?

Pour la dernière collection, le voyage a été l’inspiration première ! Vous y trouverez une pochette ornée d’une ceinture brodée main, chinée chez des artisans lors d’un voyage dans le Yucatan au Mexique, des doublures en wax africain trouvés à Barbès, des cuirs inspirés du style safari … le tout en gardant la touche « Bobby & Luisa ».

Qu’attends-tu du Brunch des Créateurs ?

Je pense que le Brunch des Créateurs est une super opportunité pour Bobby & Luisa. En effet, sur le site les articles sont vendus partout en France et dans le monde, mais je n’ai pas souvent l’occasion de rencontrer ces clients et d’exposer mes modèles en dehors de Paris.

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Derrière Lenocip se cache Aésane Piconel. Cette jeune créatrice originaire de Bordeaux et installée à Paris a créé sa propre marque d’accessoires de mode en 2012. Couleurs douces, formes minimalistes et matières nobles font de Lenocip une marque pleine de poésie et féminine à souhait. C’est avec joie que nous accueillons Aésane au Brunch des Créateurs, dimanche 18 mai. En attendant de découvrir ses créations, rencontre avec la créatrice à l’avenir prometteur.

Peux-tu te présenter brièvement ?

Je m’appelle Aésane, j’ai 25 ans, je suis originaire de Bordeaux, mais je vis maintenant à Paris depuis 1 an et demi où j’exerce le métier de créatrice d’accessoires de mode.

As-tu effectué des études de mode ?

J’ai d’abord effectué des études de design pendant 4 ans puis j’ai pris des cours de couture, de stylisme et de modélisme pendant un an et j’ai terminé par une formation complémentaire, d’un an aussi, de stylisme et de modélisme de lingerie. Mais parallèlement à mes études de design, j’ai toujours pratiqué la couture. Et j’ai perfectionné mes techniques et appris le stylisme lors de mes formations complémentaires.

Comment décrirais-tu Lenocip en quelques mots ?

Lenocip c’est une marque d’accessoires de mode pour femme. Les lignes sont toujours féminines et contemporaines avec des couleurs douces et classiques.

Pourquoi des accessoires de mode ?

Pour moi c’était le lien évident entre le design d’objet et la mode. J’ai toujours été intéressée par ces deux domaines, mais j’ai commencé mes études par le design d’objet. La couture est toujours restée une passion et c’est pour moi le médium évident qui me permet de concrétiser mes idées.

Un ou deux adjectifs pour décrire la jeune créatrice que tu es ?

Passionnée et déterminée.

Quelles sont tes inspirations ?

Je m’inspire beaucoup de l’univers de la décoration, et du design scandinave. Ce que j’aime ce sont les lignes pures, les formes contemporaines et minimalistes ainsi que les matières nobles et naturelles.

Que défends-tu à travers Lenocip ?

A travers Lenocip, je défends le travail artisanal, le fait-main local, ainsi que le travail des jeunes créateurs et designers.

Comment travailles–tu ?

Je travaille pour le moment dans mon salon qui est de plus en plus envahi par les tissus ! ça commence à devenir le gros bazar alors j’aimerais rapidement me trouver un vrai atelier.

Je travaille généralement sur des petites séries et j’essaie d’utiliser le plus possible des matières « naturelles » ( lin, coton, cuir, laine ). Mes tissus peuvent, pour certains modèles, venir de fin de séries des maisons de couture. Dans ce cas, la série est forcément très limitée et c’est pourquoi au sein d’une même collection, les tissus peuvent varier. Mais j’aime cette idée d’éphémère et de presque unique.

En quoi le Brunch des Créateurs t’intéresse, que peut-il t’apporter ?

Le Brunch des Créateurs m’intéresse tout d’abord parce qu’il se situe à Rennes, une ville dont je ne suis pas originaire, comme Bordeaux et où je ne vis pas, comme Paris. C’est donc pour moi une visibilité supplémentaire. Mais je suis également ravie d’y participer car il va me permettre de rencontrer et d’échanger avec de nouveaux créateurs et d’avoir un regard extérieur sur mon travail.

On peut parfois se sentir un peu seul et découragé lorsque l’on travaille sur ses créations dans son atelier et les ventes éphémères et salons de créateurs sont un peu une concrétisation de tout le travail que l’on a fourni dans l’ombre et un moyen de se booster pour continuer !

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Lépidoptère est une marque française de prêt-à-porter féminin proche de l’artisanat. Elle s’articule autour de trois principes : authenticité, simplicité et élégance. C’est à travers ces critères que la styliste Pauline Dougé souhaite transmettre une onde de douceur par le biais de ses créations.

Quelle est la philosophie de Lépidoptère ?

Lépidoptère se nourrit de son fidèle attachement pour la Bretagne et le Finistère, ainsi que de sa passion pour les papillons. “J’aspire à un système de production et de consommation de la mode plus humain, dans le but de valoriser la qualité des pièces crées. L’objectif de Lépidoptère est de proposer des collections chargées de valeurs et d’histoire. Les matières travaillées sont entièrement naturelles et la fabrication est 100% française.”

L’univers de Lépidoptère?

Derrière son univers romantique et finistérien se cache une vision sensuelle et simple de la vie. « Les pieds dans l’eau », il est très facile de se projeter avec l’une de ces créations chics et décontractées à la fois !

Ce qui te motive le plus ?

« Avoir une approche poétique et respectueuse des matières reste ma motivation principale. »

Pauline, un petit mot sur la nouvelle collection ?

« La nouvelle collection « NIJAL »  (signifiant « voler » en breton), répond une fois de plus aux critères qui font l’identité de Lépidoptère : coupes simples et fluides, matières nobles, pièces intemporelles. Mais je sais être surprenante et la nouvelle collection vous réservera bien des jolies choses au Brunch des Créateurs.»

A l’occasion de la sortie de son 2^nd EP intitulé Il Capitano, nous avons rencontré Baptiste Letertre aka Ringard. L’occasion d’en savoir un peu plus sur son parcours, son label Dance Around 88 et ses productions. Bien connu des amateurs des nuits rennaises, Ringard a eu l’occasion de se produire de nombreuses fois à Rennes que ce soit dans le cadre des soirées RAW (dont il est d’ailleurs le président), de la soirée de clôture du festival Urbaines en 2013 à l’Antipode ou encore dans des lieux plus intimistes lors des soirées organisées à la DMA Galerie. Le jeune et talentueux Dj multiplie les expériences et propose aujourd’hui un 2^nd EP audacieux à la House classieuse ! On adore !

Tombé tout jeune dans la marmite des musiques électroniques en recevant en cadeau un album de Prodigy pour ses 8 ans, Baptiste s’est très vite passionné pour l’électro. Originaire de Bruz, il y vit une adolescence « typique » où son temps libre se passe avec ses « potes » à écouter du reggae, du hip-hop etc…De fil en aiguille, il commence à fréquenter les « teufs », à développer un véritable amour du vinyle au point de devenir un collectionneur aguerri puis à mixer : « au début, je mixais sur de la hard-tech, de la drum&bass puis en compagnie des frères Martinet (dont Mioshe), j’ai opéré un virage vers la House ». Il fait alors de la house sa marque de fabrique jusqu’à lui inspirer son nom de scène en 2008 : « Je jouais essentiellement de la Chicago house ou Deep House de New York alors que (quasiment) tous les Dj rennais jouaient de la minimale. Du coup, on me répétait que la house était une musique poussiéreuse, pas à la mode. L’idée de m’appeler Ringard s’est imposée comme une évidence ! ».

Depuis 2007 où Baptiste s’est produit pour la 1^ère fois sur la place de la mairie à Bruz, le  Dj de 26 ans s’est fait petit à petit une place sur la scène rennaise (et bretonne) notamment à travers son implication dans plusieurs collectifs tels que Eumolpe (collectif fondé par 8 artistes rennais, musiciens, Dj, peintres et graphistes dans le but d’expérimenter des rencontres inhabituelles entre les genres musicaux) ou encore l’association RAW organisatrice des célèbres soirées /RAW/ façonnées avec amours par les collectifs Eumolpe / Midi-Deux et DigitalShaper.

Aujourd’hui, après un 1^er EP intitulé Spin Out sorti en novembre 2013, Ringard revient avec son 2^nd EP Il Capitano sorti sur son propre label Dance Around 88. Un EP dansant et enivrant que Ringard qualifie de « musique de tube » en référence à une histoire de famille : à force d’écouter des heures et des heures de house, son frère lui répétait qu’il écoutait de la musique de tube (et pour la petite anecdote « marrante ») qui finirait par le rendre stérile ! Il Capitano  se présente avec une face A, plus dancefloor & house et une face B, plus deep & mélancolique. 4 morceaux  pour 2 faces : A1 « Déjà Vu », A2 « Just how I feel », B1 « 1988 » et B2 « Thirsty panther ». Une double « personnalité » que revendique le Dj & producteur rennais qui aime associer les genres. Cela explique notamment la création de son label : « le choix d’avoir son propre label s’est fait naturellement, pour se produire, pour faire mes propres vinyles…Je voulais être libre et autonome dans le choix des morceaux à mettre sur mes disques. Si j’avais envoyé le vinyle à des labels, ils m’auraient sûrement dit que cela n’était pas cohérent, que la face A n’allait pas avec la face B. Avec Dance Around 88, ce problème ne se pose pas ! Et puis, c’était aussi un rêve d’avoir mon propre vinyle avec mon nom sur mon propre label ! »

Des morceaux différents qui sont comme des moments de vie du Dj. Chaque morceau a son histoire et représente un souvenir : «c’est comme si on prend un photo à un instant de sa vie, le morceau correspond à un instant de ma vie».

Autodidacte, Ringard déploie des influences de grands noms de la musique House : Wayne Gardiner, Kerri Chandler, Pepe Bradock ou encore Larry Heard. Amoureux du vinyle et de machines, tout son travail de création se fait uniquement sur les claviers, boites à rythmes, samplers…Aucun ordinateur intervient dans le processus. Une production « machine » et « fait maison » qui donne toute son originalité à un morceau : « un morceau ne sera jamais tout à fait le même d’une fois sur l’autre ».

Il Capitano est à la hauteur du talent du Dj. Un Ep sans faute de goût avec lequel Ringard apporte à la scène rennaise une touche House qui fait souvent défaut. Il déploie une house élégante & dansante d’une efficacité redoutable. On s’y voit bien danser énergiquement les yeux fermés…C’est d’ailleurs, ce qu’il recherche à faire ressentir à son public : « si je vois les gens danser avec les yeux fermés sur les morceaux plus deep, alors c’est cool ! ». Le plus ? « Ce serait que ce soit lors d’un lever ou coucher de soleil sur une plage de sable fin ! ».

A l’occasion de la sortie d’Il Capitano, la RAW organise une release party le samedi 29 mars à la DMA Galerie. L’occasion d’aller danser sur un live de Ringard et Kiwisubzorus et de découvrir une série de dessins « one-shot » de Mioshe en écho à la musique de tube de Ringard. Mioshe qui a d’ailleurs signé l’artwork du vinyle…Vinyle que vous pourrez  vous procurer, en exclusivité à Rennes, à cette occasion!

 

Les coups de cœur de Ringard :

–          Ange

–          Aller chez les gars de Bokal

–          Mioshe

–          Sa copine

–          Jouer avec Anthony à la dernière Vielspab

–          La galerie DMA et son charmant hôte

–          Arithmetic

 

 

Suivre Ringard sur Facebook

Se procurer Il Capitano :

www.discogs.com

www.juno.co.uk

www.decks.de

www.redeyerecords.co.uk

www.deejay.de

Chez SYNCROPHONE à Paris

Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du 24 au 30 mars).

Un Des Sens – À partir de Lundi 24 Mars – Lieu : Le Diapason, Rennes

Le Festival Un des Sens est un festival multiculturel extravagant et « branché » organisé depuis 2005 à l’initiative d’étudiants de l’INSA de Rennes. La notion des Sens est déclinée sous toutes ses formes à travers de nombreuses animations. Un brin décalé, le festival se veut accessible à tous et dépasse aujourd’hui les frontières du monde étudiant.
La programmation

 

 

 

VIDEO/BARS -4- Hit the road movie! – Mardi 25 Mars à partir 20h – Lieu : Le Synthi Bar, 2 Rue de chateaudun, Rennes

Contemporaine à l’invention du cinéma, l’apparition des véhicules a profondément marqué notre rapport au paysage et aux images. Tandis que les fenêtres des trains préfiguraient les écrans de projection, le véhicule particulier influençait quant à lui l’imagerie cinématographique des films d’action, des comédies romantiques, jusqu’à imprégner de son rythme un genre à part : le roadmovie. Ici, les artistes nous proposent des roadmovies expérimentaux. Leurs images nous emmènent vers des contrées lointaines, aussi bien dans l’espace que dans le temps…

Fabienne Gautier – Iceland – 4’19 – 2006
Un dyptique Super 8 filmé à bord d’une voiture qui traverse les paysages désertiques de l’Islande, un décor qui ressemble à se méprendre à celui de la célèbre route 66. Mais point d’action ici, au contraire, les tremblements de la caméra finissent par nous bercer, et les paysages extérieurs et intérieurs se fondent les uns dans les autres.

Sophie Bouloux – Strenght in Solitude – 2’15 – 2011
A partir d’images trouvées, l’artiste recompose un travelling inquiétant qui s’apparente à un générique de film d’horreur. A travers un habile jeu de superposition et de décalage, de zoom et de dézoom, elle crée une impression de mouvement vers l’avant mais qui, plutôt que de nous faire progresser, nous fait tourner dans une éternelle boucle en dehors de tout repère spatio-temporel réel.

William Turmeau – Dixit – 6’30 – 2012
Un autre dytique vidéo qui combine images en Super 8 et sténopé Super 8. Filmé à différentes périodes, dans différentes villes, il propose une évocation mi-abstraite mi-figurative sur l’urbanité, l’errance, le passant et le passage.

Thibault Jehanne – D226 – 2’51 – 2013
Malgré un dispositif de prise de vue identifié dès les premières images, nous nous laissons rapidement dérouter par les images de cette vidéo. Un jeu d’illusion par réflexion qui questionne notre façon d’interpréter le visible.

Grand débat du 2nd tour des municipales à Rennes – Mercredi 26 Mars à partir de 18h – Lieu : Science Po Rennes, 104 bd de la duchesse Anne, Rennes

L’association des lecteurs du Mensuel de Rennes, l’Aire de Rennes, organise, le mercredi 26 mars 2014, un débat entre les candidats du second tour des municipales à Rennes.

Débat organisé en partenariat avec l’Institut d’Études Politiques de Rennes, et les associations d’étudiants de l’IEP, Ysegoria et Le Chapitre.

Débat animé par Nicolas Legendre ( Mensuel de Rennes) et Ronan Le Mouhaër (Canal B)

Mercredi 26 mars 2014 à 18h00
Amphithéâtre Erasme
IEP Rennes

LES EMBELLIES : CARTE BLANCHE A LAETITIA SHERIFF – À partir de mercredi 26 Mars – Lieu : Le Jardin Moderne, Rennes

CARTE BLANCHE A LAETITIA SHERIFF #1
LAETITIA SHÉRIFF TRIO : Après quelques années à promener sa voix & sa baryton au gré des collaborations et des projets parallèles, LAETITIA SHERIFF reprend la route en compagnie de Thomas Poli (guitares, claviers) et Nicolas Courret (batterie). Le trio vient de terminer l’enregistrement d’un nouvel album nerveux et aéré, gravitant entre joie, révolte et mélancolie.

FURIE : Membre des groupes Mermonte et Lady Jane, Astrid Radigue viendra cette fois-ci nous révéler son propre projet FURIE. Accompagnée par les bienveillants Florian Jamelot et Jérôme Bessout (Fago Sépia, MHA), elle nous proposera ses comptines envoûtantes et sombres.

Monstromery : Après un retour aux sources lavalloises, MONSTROMERY répond cette fois à l’invitation de Laetitia Shériff. A peine né et déjà immanquable, il viendra électriser le café culturel du Jardin Moderne.

CARTE BLANCHE A LAETITIA SHERIFF #2

MellaNoisEscape : Après avoir traîné ses guitares sur de nombreuses collaborations, Olivier Mellano retrouve l’énergie brute, les torrents électriques et le mordant noise : MellaNoisEscape , à la croisée de Shellac, Battles et Blonde Redhead… Ce projet minimaliste marque une pause remarquable dans la frénésie des projets d’Olivier.

1 PRIMATE : Romain Baudouin alias 1 PRIMATE vous fera découvrir un instrument hors norme et chimérique (une guitare électrique et une vielle à roue électroacoustique liées par un manche !) que lui seul sait faire sonner.

AFTERSHOW DJ SET by Mistress Bomb H & LESTER BROME !

JEFF LANG + Max Genouel et Lys Coqui – Mercredi 26 Mars à partir de 21h – Lieu: 1988 Live Club, Rennes 

Jeff Lang, musicien basé en Australie, a gagné une réputation mondiale à la fois comme guitariste virtuose, auteur compositeur prolifique mais aussi comme artiste mémorable sur scène.

Il a déja 13 albums en stock et, depuis dix ans, joue dans les plus grands festivals, pubs, clubs, centres artistiques et les salles du monde entier.

Un mélange de rock, de roots, de folk, de blues, de ballades, d’instrumentaux, et d’improvisations, ajouté à un niveau intense de musicalité, font de Jeff Lang un musicien et un artiste de scène unique.

Lang travaille sans conducteur, laissant chaque soir, l’énergie seule maitresse de ses chansons, emmenant le public dans son sillage, et le bouche à oreille qui suit, suffit à faire croître son succès.

Mapping Core, Performance interactive : La Sophiste – Le Triangle Rond – Jeudi 27 Mars à partir de 19h30 – Lieu : Les ateliers du vent, Rennes 

Dans le cadre d’une résidence aux Ateliers du Vent, La Sophiste, association résidant aux ateliers, invite la compagnie du Triangle Rond basée aux Ateliers Intermédiaires de Caen.

Une restitution des travaux issus de cette première collaboration sera présentée à la buvette du jeudi 27 mars aux Ateliers du Vent. Performance interactive et pluridisciplinaire où se mêle composition chorégraphique, arts numériques et environnement sonore.

EDITH PRESLEY vs MISTER ELEGANZ – Jeudi 27 Mars à partir de 21h – Lieu : Le Oan’s Pub, Rennes 

Rennes est devenue trop petite pour ces deux DJ. Il ne peut en rester qu’un et c’est au Oan’s que ça va se régler.
A ma gauche, le spécimen de sexe féminin: Edith Presley, record-woman de tubes à faire bouger les genoux.
A ma droite, le spécimen de sexe masculin: James Eleganz, record-man de tubes inconnus et de musique de de films de boules italiens.

EDITH PRESLEY
fille d’Emilien Presley, sosie officiel du King dans la région de Fourqueux (78) se fait remarquer il y a quelques années au festival de Cannes. Vendeuse de frites à son compte, c’est en passant du twist dans sa caravane ambulante qu’elle se fait remarquer en faisant danser ses clients.
En quelques semaines, sa réputation fit le tour du monde et c’est tout naturellement qu’elle revendit sa friteuse pour une mixette. Depuis, Edith Presley enchaine les tournées avec un seul but, faire danser la foule sur de bons vieux morceaux de rock’n roll, ou bien encore des tubes de soul sortis du grenier!

JAMES ELEGANZ
Mister Eleganz, le charismatique chanteur de Success, endosse son costume de Disc-Jockey. Esthète musical, il distille ses perles comme il offre ses poils.

Elk Eskape VS The Wâll Factory – Jeudi 27 Mars à partir de 21h – Lieu : Ty anna, Rennes

ELK ESKAPE, une nouvelle échappée rock rennaise née en automne 2013.
« Comme un brame mystique quelque part en forêt, un dernier regard de réconciliation. Spectateurs du temps, de traditions modernes…Dans la peau d’un évadé de l’Ontario, accordant guitare & voix à son arc! »
Après 4 ans d’existence, 2 EP, et plus de soixante dates à travers le grand ouest, ROLL IT prend la tangente..c’était sanc compter sur 3 des membres qui en ont encore sous les semelles et apportent une nouvelle énergie.

The wâll factory c’est tout d’abord un projet solo et un espace de création qui, tel un phoenix renaît des cendres du groupe LEBOWSKI, à l’initiative de son chanteur Mikaël.
Le projet voit le jour en 2011 sous l’impulsion de deux thèmes fondateurs chers à l’artiste : d’un côté le monde de l’industrie, symbolisé par ses usines et leurs fumées ou bien encore par les machines sur lesquelles s’affairent sans relâche des ouvriers rompus à la tâche. Et de l’autre, l’animalité incarnée par la figure du bison, force tranquille sauvage épris de liberté qui deviendra son totem.
De cette dualité émergera un premier EP particulièrement varié:  » Initiatory Road ». 5 titres naviguants entre pop,rock (Beck période Odelay) et folk, se permettant même une incartade plus bruitiste sur le titre « Middletro Avenger », le tout en restant cependant cohérent de bout en bout.
Fort de ce premier parcours initiatique, TWF poursuit aujourd’hui son chemin en proposant un son folk un peu plus épuré, une sorte de retour aux sources pour cet artiste qui n’en a pas fini de nous surprendre.

Festival Rue des livres – Vendredi 28 Mars – Lieu : Parc des Gayeulles, Rennes 

« Lire, c’est vivre. Vivre libre. Donc en ces temps où matraquage, formatage et marketing des « parts de cerveau disponible » veulent faire main basse sur nos esprits, une seule devise : vivre-livre !

Emparez-vous donc d’un livre et ouvrez-le comme vous pousseriez une porte au hasard d’une rue.  Par simple envie de savoir ce qu’il y a derrière la couverture. Puis abandonnez-vous à vos émotions, votre imaginaire, votre soif d’apprendre et de comprendre. Rire ou larmes, surprise, révolte, peu importe, du moment que se dévoile l’essentiel : un peu de sens, enfin, dans l’énigme de nos existences !

Si un texte compte pour vous, vous rêvez aussi qu’il compte pour les autres. Le livre se fait alors mot de passe. Pour l’amitié, la fraternité, l’amour. Avec l’édition 2014 du Festival «  Rue des Livres », c’est tout le bonheur qu’elle vous souhaite… » Irène Frain

Programmation

Exposition 2147 – Vendredi 28 Mars à partir de 18h30 – Lieu : Galerie 126, Rennes

2147 est une experience interactive et une narration transmedia.
Cet événement raconte par le biais de plusieurs supports une vision de 2147, un journal venant du futur.
L’exposition aura lieu du 28 mars au 4 avril 2014 dans la galerie 126.

LES EMBELLIES : SARAH W_PAPSUN + SAmBA De La mUERTE + BOMBAY SHOW PIG – Vendredi 28 Mars – Lieu : Antipode Mjc, Rennes

Sarah W. Papsun : Synthés étourdissants, basse électro, guitares escrimant dans les aigus, rythmiques tribales, alliage savant de mathrock grisant et de mélodies pop contagieuses, c’est sur scène que SARAH W_PAPSUN déploie tous ses atouts et nous piège totalement.

SAmBA De La mUERTE : Post-folk, indie folk, folktronica, peu importe… SAmBA De La mUERTE est la fusion entre poésie mélancolique, musique aérienne et mélodies obsédantes. Difficile de ne pas se laisser charmer par les compositions atmosphériques et la voix haut perchée tantôt emplie d’une tristesse bouleversante et tantôt d’espoir bienveillant.

Bombay Show Pig : Jeune duo indie-rock d’Amsterdam du guitariste Mathias Janmaat et de la batteuse Linda van Leeuwen, BOMBAY SHOW PIG fait preuve d’une maturité étonnante, alliant interprétation explosive, qualité du songwriting et harmonies vocales maitrisées.

GOLDMASTER ALLSTARS meets CREATION CULTURE HI FI feat GEORGE PALMER – Vendredi 28 Mars à partir de 21h – Lieu : Le Mondo Bizarro, Rennes 

Malcolm GOLDMASTER ALLSTARS :
Il est le fondateur du groupe mythique anglais Goldmaster Allstars. Auteur, compositeur, interprète et bassiste depuis de nombreuses années sur la scène reggae UK, il a collaboré avec beaucoup d’artistes renommés comme Alton Ellis, Michael Prophet, The Pioneers, Vin Gordon, Dennis Alcapone et bien d’autres. Ces collaborations ont permis à Malcolm d’enregistrer un grand nombre de morceaux et de dubplates exclusifs. Cette première apparition en France sera l’occasion de vous les faire découvrir.
“ Get ready and tell yah friends, a rootsman time a come!”

GEORGE PALMER
Originaire de San Sebastian, George P. chante seulement depuis quelques années. Après plusieurs collaborations avec differents sound system (Interrupt, Eztandub, Raggatack) et quelques sorties digitales, il travaille actuellement sur son prochain album avec Creation Culture.
Cette première session en France sera pour lui l’occasion de vous faire découvrir ses talents ainsi que plusieurs titres de son prochain album.
“Make it a date and don’t be late, George a go nice up di dance!”

CREATION CULTURE HI FI
Collectionneur et Dubmaker depuis plusieurs années, le crew breton diffuse une selection “conscious” allant du roots des années 70’s au Dub UK plus actuel. Il a déja collaboré en studio ainsi qu’en sound system avec de nombreux artistes comme Dan I Locks, Murray Man, Charlie P, Brother Culture, Peter Youthman… Actuellement, le crew travaille sur le prochain album de George Palmer et est impatient de vous le faire découvrir.
“Don’t forget, and share the message, the session a go tuff!”

Je Tanzen ! #2 Vendredi 28 Mars à partir de 23h – Lieu : Le moon station, Rennes 

Être assis ou danser reviens au Moon Station pour la 3ème « Je Tanzen ! »
Pendant plus de 3h la team EAOD vous fera danser, assis ou debout, sur de la Minimal Synth, EBM, Groovy Synth..

Rayon Vert –  » Chemins du désir  » Les Frères Ripoulain – Samedi 29 Mars à partir de 16h – Lieu : Marche collective, Quartier du Blosne, Rennes

Rendez -vous :
Station de métro Triangle à 15h45

Les Chemins de désir sont des chemins tracés dans les espaces verts à mesure du passage des habitants, qui dessinent ainsi leurs trajets quotidiens, comme une résistance à la rigueur de la carte tracée par l’urbanisme.

À la mesure du pas et grâce à une marche forcée, l’action à laquelle nous convie Les Frères Ripoulain consiste à augmenter un chemin de désir existant d’extensions poétiques et afonctionnelles, le transformant ainsi en autant de  » Chemins du désir « .

Ce Rayon Vert prend place dans le cadre de l’exposition  » Les Horizons  » à La Criée centre d’art contemporain du 14 mars au 11 mai 2014.
Les Frères Ripoulain y présentent un ensemble de documentation regroupant leurs recherches sur ce phénomène urbain, les  » Chemin du désir  » qu’ils ont déjà pu réaliser et leurs projets pour ceux à venir.

THE CHERRY BONES // LA PESTE – SAMEDI 29 MARS – Lieu : Sympatic Bar, Rennes

OPEN ART SURGERY présente :
THE CHEERY BONES (Tours) :
THE CHERRY BONES, duo guitare/clavier, armé d’un troisième membre pas chiant à nourrir (puisqu’il s’agit d’une boîte à rythmes) qui sonne comme un mix entre Johnny Boy & Toddi Wellman pour prendre des réferences locales. On les sent aussi fans de la scène garage noise indie actuelle (Cheveu, Feeling Of Love, Intelligence…) autant que des illustres anciens (Suicide, Sonics, Troggs). Plus largement, il est rare de rencontrer un groupe qui a défini une formule déjà précise et efficace aussi vite : une sorte de garage-surf synthétique, à la fois minimal et explosif.

LA PESTE :
Si Ian Curtis avait fait de la surf-music, le résultat eut-été proche de La Peste. Entre death-surf et post-garage, ces manceaux biberonnés aux BJM et à Boris Vian emmerdent le monde. Née un 9 janvier avec une démo postée sur internet, La Peste répand sa pandémie sur scène. Et si Burzum dansait avec Brian Wilson, ça donnerait quoi? Réponse en live. »

RINGARD RELEASE PARTY – Samedi 29 Mars à partir de 19h – Lieu : Galerie DMA , Rennes

Pour célébrer la sortie du 2ème Ep de Ringard, « Il Capitano », la RAW vous convie à la DMA galerie. Pour l’occasion, Mioshe accrochera une série de dessins « one shot- free style » en echo avec la musique de tube de Ringard.
Kiwisubzorus et Ringard feront causer leurs machines dans un live improvisé.
Francoijak, Mioshe et La Denrée nous ferons le plaisir de faire tourner des disques et vous pourrez, en vous délectant d’une cervoise tiède, vous procurer une copie du disque.

Aujourd’hui, nous vous parlons de Marie, alias Mariette, cette jeune malouine adepte du point de croix, sous toutes ses formes. Petite présentation de cette créatrice également tatoueuse et désormais installée à Nantes. Venez donc découvrir Mariette au Brunch des Créateurs et le point de croix comme vous ne l’avez jamais vu.

 

Peux-tu te présenter brièvement ?
Marie dite Mariette , 29 ans. J’ai grandi à Saint-Malo et vis à Nantes depuis 6 ans.

Mariette, en quelques mots ?
Mariette c’est la déclinaison du point de croix sous toutes ses formes ! Du sweat tout doux pour l’hiver au tatouage en passant par la broderie pure bien sûr. Et tout cela avec une gamme unique de couleurs : le bleu & rouge.

Pourquoi le point de croix est-il le cœur de tes créations ?
Ma maman m’a initié au point de croix gamine, j’ai vite été attirée par ce support pour faire vivre mes propres dessins. Je trouvais l’idée de ressortir une technique ancienne avec des visuels contemporains, plutôt cool.

Que souhaites-tu communiquer à travers ton travail ?
Rien en particulier. A part qu’on peut toujours faire du neuf avec du vieux !

Depuis quand Mariette existe ?
La marque elle-même existe depuis 3 ans. Les carnets remplis de croix sont là depuis bien plus longtemps !

Quelles sont tes inspirations ?
Le tatouage bien sûr. Et puis je passe pas mal de temps dans les brocantes. Donc, je m’inspire des vieilles gravures, sérigraphies, canevas… Après je suis pas mal addict d’Instagram, ce qui permet d’avoir accès à une foule d’artistes assez dingues.

Trois adjectifs pour décrire la créatrice que tu es ?
Collectionneuse. Hyperactive. Monomaniaque.

Qu’attends tu du Brunch des Créateurs ? En quoi l’événement t’intéresse t-il ?
La rencontre et la découverte de nouveaux créateurs. (Et puis passer une journée avec les copains talentueux !)

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