Suzy, Hélène, Maxime, Clémence, Sabine, Lola. Ces six étudiants en Master 1 de Sciences Politiques à Rennes sont à l’origine du projet d’un court-métrage documentaire intitulé Extra Muros. Actuellement en phase de montage, ce documentaire entend explorer les multiples facettes de l’art urbain à Rennes. Un travail ambitieux et pertinent qui interroge ce domaine en profondeur en allant directement à la rencontre des acteurs qui transforment les murs de la ville. Première projection prévue le 27 mai, au 4Bis.

Tag, graffiti, street art, blaze, sont autant de termes employés (à tort et à travers parfois), pour parler de l’art urbain. Alors que Rennes est une ville pionnière en la matière, (à l’échelle nationale) avec la mise à disposition en 2002 de murs légaux et l’accueil du Festival international d’art urbain Teenage Kicks, les six étudiants s’interrogent sur la « face cachée » des pratiques exploitées sur les murs de la capitale bretonne.

Concernant la bande de copains, tous sont étudiants en Sciences Politiques. Et tous s’intéressent de près à l’audiovisuel, au cinéma ou encore au journalisme. Ce court-métrage documentaire était le moyen idéal de réunir et exploiter leurs diverses compétences. Et c’est avec détermination qu’ils s’investissent au sein de ce projet qui leur tient à cœur. De la prise de contact avec les différents interlocuteurs (qui n’est pas toujours chose facile) à la réalisation. Dans un souci de professionnalisme et de qualité, le groupe a sollicité la solidarité des internautes par le biais d’une campagne de financement sur Kiss Kiss Bank Bank. En peu de temps, l’équipe a ainsi réuni les fonds nécessaires afin d’engager un monteur professionnel.

Suzy, Hélène, Maxime, Clémence, Sabine et Lola ont un autre point commun. Chacun est parti étudier une année à l’étranger. Aux Etats-Unis, au Mexique ou encore en Australie, les étudiants ont « pu remarquer que l’identité d’une ville pouvait aussi se lire sur les murs, au travers de graffitis, de tags et de fresques en tout genre ». Une attention particulière qu’ils ont appliqué à la ville de Rennes, à leur retour. Prenant conscience que la ville regorge de pratiquants et de pratiques divers et variés, l’équipe s’est naturellement tournée vers ce sujet.

Un sujet aussi complexe que l’art urbain est en perpétuelle évolution. Entre street-art, graffitis légaux, vandalisme, quelles sont les motivations des pratiquants ? Quels sont leurs démarches et leurs différents moyens d’expression? Comment se positionnent-ils à l’heure où les institutions culturelles offre la possibilité à certains pratiquants d’être visibles, alors que le graffiti n’a pas pour vocation, à l’origine, de plaire à tout le monde ?

C’est à ces questions que l’équipe d’Extra Muros souhaite répondre en dressant le portrait de six pratiquants de Rennes. Par une véritable enquête de terrain, les étudiants vont chercher informations, avis divergents et philosophies différentes, directement à la source. Loin des idées préconçues de l’art urbain qui tend à se démocratiser de plus en plus. Ce documentaire est finalement « un espace d’expression en images et en paroles, pour les différents pratiquants », qu’ils soient graffeurs, taggueurs, ou street artistes. Adeptes du pochoir, de la bombe, des pinceaux ou du collage, Extra Muros donnent la parole à ceux qui font vivre les murs et les rues de la ville. Qui y a-t-il au-delà des murs de Rennes ?

Pour le savoir, rendez-vous au 4Bis le 27 mai (on a hâte !), pour la première projection de ce court-métrage documentaire. En attendant, vous pouvez suivre les actus de l’équipe sur leur page Facebook !

4 : 16 AM, c’est une jeune marque de bijoux qui s’inspire directement du cosmos, de l’univers, de la galaxie. A la croisée du design, de la mode et du graphisme, ces bijoux en verre sont à la fois poétiques et oniriques. Un brin psychédéliques, parfois. Rendez-vous au Brunch des Créateurs, dimanche 18 mai, pour découvrir les pièces de Marion, la créatrice de la marque. Des étoiles plein les yeux, Marion répond en attendant à nos questions, afin d’en savoir un peu plus sur son univers.

Qui se cache derrière 4:16 AM ?

Je m’appelle Marion, j’ai 27 ans et je vis dans une petite ville près d’Avignon à l’Isle sur Sorgue, plus exactement. Je suis très attentive aux nouveautés dans l’art, le graphisme, la mode et je suis fascinée par l’univers et l’astronomie en général.

Comment est née la marque ?

Après ma licence en Arts Plastiques j’ai fait un Master en graphisme. Mais ne trouvant pas d’emploi je me suis orientée vers une activité à la fois manuelle et créative. Je me suis toujours imaginée dans un métier d’artisanat, qui mélange un vrai savoir-faire et un coté artistique. Les bijoux donnent une grande liberté en termes de design et mettent en parallèle différents domaines tels que l’art, la mode et le graphisme.

C’est pour cela qu’en avril 2013, je me suis jetée à l’eau et j’ai commencé mon activité.

Trois mots pour décrire la créatrice que tu es ?

Rêveuse, minutieuse, et curieuse.

D’où te vient cette inspiration cosmique ?

A 8 ans (il me semble), j’ai ouvert par hasard un magazine scientifique dédié à l’univers et aux étoiles. J’ai découvert toutes ces nébuleuses colorées et ces galaxies en spirale. J’ai eu un tel coup de cœur qu’à l’époque je voulais devenir astronaute ! Mais j’ai vite compris qu’il fallait être calé en sciences et en maths et que toutes ces merveilles étaient inaccessibles pour l’homme. Ce qui à renforcé le coté mystérieux de la chose.

Du coup, j’aime bien retranscrire cet univers dans mes bijoux, en travaillant les formes graphiques pour le côté scientifique et les couleurs holographiques, pour la part de rêve.

Comment fabriques-tu tes bijoux ?

J’ai eu l’idée de travailler avec le verre car mon papa est vitrier. La matière première était sous mes yeux, donc je me suis dit : « pourquoi pas ? »

C’est en regardant travailler mon père que j’ai appris à couper et polir le verre. Les bijoux sont réalisés avec des chutes de verre professionnel qui ne servent plus. Cela est très pratique car ça évite le gâchis! J’aime ce matériau car il est solide et fragile à la fois. On peut jouer sur les transparences, les superpositions et les couleurs!

Et pourquoi « 4 :16 AM » ?

Le nom de la marque 4:16 AM (16 c’est mon jour de naissance) provient du fait que je suis un « oiseau de nuit », une « couche tard lève tard » et globalement, j’ai toujours préféré la nuit. Je trouve que tout est plus calme et propice à la création.

Que nous réserve ta dernière collection ?

Je viens tout juste de sortir quelques pièces sur le thème de la sirène (motif écailles). Mais en ce moment je travaille sur des pièces un peu plus élaborées comme des colliers plastron aux formes géométriques. Et bientôt l’arrivée d’un nouveau matériau, le miroir. Ca va briller cet été !

Que penses-tu du Brunch des Créateurs auquel tu participes ? Qu’attends-tu de cet événement ?

Le Brunch des Créateurs est une très bonne initiative qui permet aux créateurs de se faire connaître et aux personnes, de trouver des pièces originales que l’on ne trouve pas dans les commerces de grande distribution ! Le concept de brunch est très sympa car cela amène de la convivialité. J’espère faire de belles rencontres, pouvoir échanger avec d’autres créateurs et évidemment me faire connaitre un peu plus !

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Il y a déjà quelques semaines, on a rencontré un des mecs qui s’occupe de Retard Records dans son loft à Rennes, on a regardé du curling mais on a surtout parlé de son label et de la K7 World War 2 qui vient de sortir ! Une compile que tu peux écouter à partir d’aujourd’hui sur le bandcamp de Retard, en cliquant sur les vidéos qu’on t’as mises, et que tu pourras écouter très bientôt dans ton walkman, promis. En attendant je te conseille de lire l’interview qu’on a faite de Thomas, un des papas du label que t’as surement déjà vu frapper primitivement sa batterie devant un public qui suinte la lager dans RIGG ou son nouveau groupe Dragster. Si t’as de la chance tu l’as peut-être même vu casser ses baguettes ou traîner au City Food, jamais loin des sauces à volonté… 

Qui est à la base de Retard ?

A la base on est deux, moi et Alex de Marseille qui jouait dans Thee Atom Brain, c’est comme ça qu’on s’est rencontré quand il est passé à Rennes. Il fait aussi parti de Qúetzal Snåkes.

Comment t’est venue l’idée de créer un label ? 

De mon côté j’ai toujours eu envie de monter un label, on avait déjà sorti la compile La Rennes du garage avec Open Art, ça fait longtemps que j’ai envie de sortir des trucs. J’ai pas crée le label pour sortir mon propre groupe, je prefère que d’autres s’occupe de ça, qui pourrons me dire si c’est bien ou pas ce qu’on fait. Pour l’instant on a sorti 4 cassettes, la World War 1 (Sold Out), Burnside Eleven, Kaviar Spécial, Sapin. Et aujourd’hui on sort notre nouvelle compile, la World War 2! Enfin bref, du coup j’avais l’idée de monter un label dans la tête, j’en ai parlé à Alex et il m’a dit que lui aussi voulait monter un label, donc plutôt que d’en faire deux, on s’est mis ensemble. C’est lui qui a trouvé le nom d’ailleurs.

Et le concept, c’est sortir que des cassettes ?

Oui et non, haha. Oui, parce que c’est moins cher et que je suis vraiment pauvre, genre tout mon argent passe dans le McDonald, par contre Alex il est banquier donc c’est plutôt cool. On sort des cassettes parce que c’est pas cher à produire et ça permet de financer le reste, avec la première compile on a pu financer deux cassettes. Mais on va bientôt sortir un 33t de Qúetzal Snåkes .

Comment se passe la production justement, vous vous répartissez les tâches Alex et toi ?

Pour les cassettes “album”, chaque groupe nous envoie les enregistrements déjà finis et après on bossait avec des anglais qui nous faisaient la duplication, ça nous coûtait pas trop cher mais ils nous ont enculé du coup on va bosser avec d’autres gens. Ils se sont foirés sur une cassette de Kaviar Spécial, les chansons ne sont pas dans l’ordre, il y a deux fois la même, la dernière est coupée… Et puis pour les compiles en gros on choisit dix groupes chacun et voilà. Sinon c’est moi qui gère les envois de colis et la « communication » on va dire, on s’appelle souvent pour discuter de ce qu’on veut faire, par exemple trouver les groupes pour la compile. Il m’appelle aussi tard le soir pour me raconter des trucs cochon. C’est un peu étrange.

Ah ouais, l’angoisse.. Sinon, vous avez combien de groupes « à vous » sur Retard ?

En comptant les compiles, on peut dire que 37 groupes sont passés par Retard mais ils ne font pas vraiment parti de Retard Records. Ce qui fait vraiment parti de Retard c’est Sapin (dont on vous parle ici, ndlr), Burnside Eleven et Kaviar Spécial.. Et encore Kaviar c’est surtout Azbin et Howlin Banana puisque leurs cassettes elles sont ratées quoi !

Vous avez pour projet d’intégrer de nouveaux groupes ?

Oui on doit bientôt sortir un split entre Go!Zilla et Travel Check. En fait Travel Check vient de sortir un 45 tours chez Howlin Banana, Go!Zilla aussi sur un autre label, donc ce serait une cassette avec les chansons de leurs 45 tours respectifs. Et on a plein d’autres projets, mais on garde le secret tant que rien n’est sur.

Comment se passe le choix des groupes que vous sortez, c’est eux qui viennent vers vous, l’inverse ?

C’est vrai qu’il y a pas mal de groupes qui nous demandent de les sortir mais on tient vraiment à retenir que des choses qu’on aime, qu’on choisi nous au final. C’est quand on se dit « Oh ce serait cool de faire ça ! », il n’y a pas quelque chose de mûrement réfléchi derrière. On reste dans le garage, garage punk, on sortira jamais de pop. Evidemment on écoute ce qu’on nous envoie mais pour l’instant on a un planning assez chargé, jusqu’à janvier de l’année prochaine on a des sorties de prévues. On écoute du coup, mais on fait aussi attention aux mecs du groupes, faut qu’il y ai un minimum de feeling. Par exemple s’il y a un groupe qui vient me voir et que les mecs arrivent avec des dreads, ils ne sortiront jamais chez Retard Records. On peut pas faire un truc pareil, il faut un minimum de respect pour les gens.

Haha, je suis plutôt d’accord ! Y a-t-il un groupe en particulier que vous rêveriez de sortir ?

Oui, en fait mon rêve je vais le réaliser, ce pourquoi j’ai voulu créer un label c’est pour faire une compile en hommage à Jay Reatard. Il y en a une qui vient de sortir, je suis un peu dégoûté, on a pas envie d’entendre qu’on vole l’idée tout ça, mais en gros ça va sortir le 13 janvier 2015, pour les 5 ans de sa mort. Ce sera que des reprises par des groupes de garage de son album Blood Visions, un peu comme le concept de l’album du Velvet Underground par Castle Face qui ont repris le truc, la même chose mais avec Jay Reatard. Il y aura des groupes français, mais aussi américains. Rien n’est encore sur.

T’en penses quoi de la compile qui vient de sortir sur Jay Reatard justement ?

Je suis pas mal déçu en fait, il n’y a pas que des groupes de merde, JC Satan ou les Magnetix par exemple qui font de supers reprises, mais le reste c’est assez nul ou chiant quoi. Je comprends pas comment certains groupes sont arrivé là en fait.

Vous avez des visuels hyper marqués, enfin on reconnait tout de suite quand c’est Retard…

Oui c’est Lou L’enfer qui réalise tous nos visuels, déjà parce que c’est un pote, il est hyper drôle et on s’entend vachement bien, il fait des choses hyper cool et ça nous permet de garder la même image, la même identité visuelle. Le mec il voit une cassette il se dit tout de suite c’est Retard Records.

C’est venu d’où Retard Records ? C’est parce que vous êtes des attardés ?

C’est à double sens oui, c’est Alex qui l’a trouvé, effectivement Retard c’est attardé, on est un peu des gogoles donc ça ça marche bien mais c’est aussi surtout en hommage à Jay Reatard. Ça ne s’écrit pas pareil, c’est un hommage discret.

 Ils ont pas encore reçu les cassettes, mais tu peux toujours filer l’écouter sur bandcamp et l’acheter quand elle sortira courant avril ! Merci Retard !

 

 

 

 

 

Marion Beaudouin a lancé EMMY MOA en 2009. Des bijoux fins, délicats et singuliers, inventés et confectionnés en Bretagne. Très attachée à cette région, la créatrice souhaitait quelque chose d’authentique, de local et d’intemporel. A consommer sans modération le jour du Brunch !

Comment travailles-tu tes bijoux  ?

Mes matières fétiches restent le laiton, la porcelaine, le bois et la perle fine. Je travaille les formes géométriques afin qu’elles soient raffinées, minimalistes et puissent s’inscrire dans l’air du temps. Les touches de couleurs sont douces et apaisantes.

Où puises-tu ton inspiration ?

Dans quotidien, ma vie, mes rencontres et mes lectures, je pense que mes créations me ressemblent un peu.

Peux-tu nous en dire un peu plus sur ta nouvelle collection ? 

Elle incarnera la délicatesse. Des formes géométriques, la plupart arrondies transmettent un certain côté raffiné, et sont en adéquation parfaite avec la tendance de cet été, qui sera le pastel entre autre. Subtiles, les bijoux donnent à la femme citadine une image très distinguée. Des pièces qui peuvent être portées en toutes circonstances afin d’apporter une touche de gaieté.

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Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du 24 au 30 mars)

Dooinit Festival 2014 – À partir de Mardi 1er Avril 2014 – Lieu : Rennes 

EXPANSION TEAM SOUNDSYSTEM (DJ BABU & RAKAA of Dilated Peoples) (Los Angeles, CA)/ DOM KENNEDY (Los Angeles, CA) / BLU (Los Angeles, CA) / MED (Oxnard, CA) / KRONDON (Los Angeles, CA ) /FREDDIE JOACHIM (San Francisco, CA) / DAG SAVAGE (Exile & Johaz) (Los Angeles/San Diego)/QUELLE CHRIS (Detroit/Oakland) / / B.LEWIS (San Jose, CA) / SKEME (Los Angeles, CA) / DENMARK VESSEY (Detroit/LA) / DEHEB (FR) / J-ZEN (FR) / B.LOO (FR) / GETEYE (FR)
Cette année, du 1 au 6 avril 2014, aura lieu la 5ème édition du Dooinit Festival à Rennes. Le festival sera consacré à la Californie.

Compton, Inglewood, South Central, Bloods, Crips, voici les premiers mots qui viendront à l’esprit de certain à la simple évocation du mot Californie ; mais Los Angeles et son état ne se limite pas qu’à ca. En plus d’être le bastion du Gangsta rap, la Californie a aussi été l’endroit du renouveau avec un hip hop à l’image de la vie là-bas, ensoleillé mais d’un réalisme glaçant.

Ce n’est pas pour rien que de nombreux artistes tels que J.Dilla, Mayer Hawthorne ou encore Quelle Chris, ont quittés la grisaille de Motown pour les palmiers californiens. Los Angeles est-il le Detroit où se croisent créativité et insouciance ?

Parler simplement de la Californie et de ses températures clémentes serait idyllique et oublier qu’elles peuvent monter a tout moment lorsque Los Angeles s’embrase, avec pour détonateur ; la tension raciale comme à Watts ou la rivalité avec la ville qui ne dort jamais.

C’est ce contraste qu’on retrouvera dans cette édition du festival, du chaud et du froid, la plage et une impasse sombre. Des légendes de l’underground californiens avec DJ Babu, Rakaa ou encore MEDmais surtout la nouvelle génération qui n’a rien a envié a ses prédécesseurs, Dom Kennedy, Blu, Krondon, Dag Savage, Quelle Chris, sans oublier les producteurs représentés par Freddie Joachim etB.Lewis, qui créent au quotidien ce qui sera la bande originale de ce road trip.

Dooinit

Le Dooinit Festival n’est pas seulement un festival musical, mais aussi et surtout, un rassemblement culturel. Cinéma, conférences, débats, soirée beatmaking et block party seront au programme de cette 5eme édition.

Bertram Wooster – Band – Mercredi 2 Avril à partir de 19h30 – Lieu : Oan’s Pub, Rennes

Echo de Bertram Wooster – Band, le groupe viendra au Oan’s Pubb jouer en live et présenter leur EP « Go Lovely Rose ».

RENNES MUSIC CLUB #5 – Mercredi 2 Avril à partir de 20h – Lieu : Le 1988 Live Club, Rennes 

Bars’n Breizh et le 1988 Live Club s’associent pour vous offrir de nouvelles soirées rennaises. Les soirées Rennes Music Club sont l’occasion de se réunir autour d’un événement mensuel et de vous présenter la scène musicale émergente du Grand Ouest. Une scène riche et foisonnante qui vous promet de belles découvertes. Un mercredi par mois, retrouvez trois groupes sur la scène de la nouvelle salle de concert de Rennes pour plus de 3 heures de musique live et gratuite.

…..LINE UP…….

MY SLEEPING DOLL
BANTAM LYONS
DEAD

1 Instant Collectif photographique – Mercredi 2 Avril à partir de 19h30 – Lieu : Antipode Mjc, Rennes 

Dans le cadre du dispositif Expolaroid – le mois du polaroid et du film instantané, l’Antipode MJC accueille 1 INSTANT , collectif international d’artistes adeptes du film instantané Polaroid.

1 INSTANT, c’est également le nom donné au projet d’exposition itinérante de la collection d’images Polaroids constituée par le collectif.Un projet photographique visant à mettre en évidence l’importance du support de création Polaroid dans la pluralité artistique. Chaque membre du collectif participe à l’exposition en proposant un exemplaire original de sa production, représentatif de son travail.Sans thème imposé, l’exposition offre à découvrir une mosaïque éclectique d’expressions artistiques. Une exposition collective ayant pour dénominateur commun le format si caractéristique de l’image polaroid.

Morgane Caradec et Stéphane Chapon viendront compléter cette exposition, à l’étage, avec leurs travaux personnels.

Le Kid & Les Marinellis // Les Guillotines – Jeudi 3 Avril à partir de 20h30  – Lieu : Le SYMPATIC BAR, Rennes

Open Art Surgery présente :

Tout droit venu de Montréal  » Le Kid & Les Marinellis » signé sur BURGER RECORDS\\\P.TRASH RECORDS reviennent nous dire bonjour !! Accompagné du groupe parisien  » Les Guillotines » signé sur Croque Macadam Records !!
Une bonne guinguette garageuse rien que pour vous Mesdames Messieurs, y’a pas de quoi !

Bre.Tone #2 – Jeudi 3 Avril à partir de 21h – Lieu : Alex Tavern, Rennes 

Après une première édition qui a tenu toutes ses promesses, la team se remet en selle à l’Alex Tavern pour une Bre.Tone #2

Au programme : House envoutante & Techno lancinante

Line-Up 

⊙ Alex ⊙
⊙ Lliug ⊙

PHENÜM ARTSHOW w/ Laguigui – Freak City – Ll Cool Jo – Vendredi 4 Avril à partir de 18h30 – Lieu: DMA Galerie, Rennes

Du 4 au 25 avril 2014, la marque PHENÜM invite ses amis LAGUIGUI (Toulouse), FREAK CITY (Bordeaux) et LL COOL JO (Nantes) pour une carte blanche qui va secouer Rennes et la DMA galerie.

VERNISSAGE le 04 avril à partir de 18h30 à DMA Galerie, 4 bvd Laennec.
After-show de 23h30 à 3h au Mondo Bizarro, 264 Avenue Général George S. Patton, 35700 Rennes

Quand on a demandé à la DMA ce qu’il était possible de proposer, la réponse fut instantanée : « TOUT !!! ».
Voilà une totale liberté qui promet en dérapages visuels…
Ces artistes vont, armés de peinture mais surtout de leurs esprits déjantés, transgresser les codes et défigurer de fond en combles la galerie d’art pendant leurs 5 jours de résidence.
Un violent DIY qui ne laissera personne insensible, dévoilant leurs explorations graphiques lors du vernissage le vendredi 4 avril à partir de 18h30.

– LAGUIGUI :
Artiste complet et surproductif, LAGUIGUI est un enfant terrible engagé et sans concession, qui explore l’art sous toutes ses formes depuis plus de 30 ans.
Pionnier de la culture skate en France, il crée l’asso les P’tits Pois Sauteurs en 1988 et s’implique à travers ses multiples illustrations loufoques pour la presse glisse française et internationale (Noway, Transworld sk8boarding, Snowsurf, Chill…) et ses visuels décalés pour des marques renommées telles que Etnies, A. Snowboard, Kanabeach ou encore Antiz pour lesquelles il conceptualise collections textiles, matériels, stands et magasins.
Illustrateur, scénographe, vidéaste, sculpteur, graphiste, designer…son éclectisme n’a pas de limite. Viscéralement underground, il est également présent sur la scène musicale hardcore et participe entre autres aux installations, performances et design pour ses amis Spiral Tribe et autres labels indépendants.
Cette année encore il élabore bien des projets qui marqueront son mouvement constant, artistique et personnel.

– FREAK CITY :
Freak City est un illustrateur bordelais né en 1984.
Enfant des 80’s et ado des 90’s, il est facile d’en déduire les influences trash et colorées de son enfance, entre Crados, skateboards Santa Cruz ou décors urbains empruntés aux Tortues Ninja, auxquelles s’ajoutent aujourd’hui plus d’inspirations diverses, allant de la BD rock des 80’s au design Memphis, et jusqu’à la peinture classique aux scènes torturées de Brueghel ou Bosch.
Contribuant à créer un univers particulier entre esthétique retro-futuriste, univers rock et mutations étranges, ces influences définissent un cadre de travail reconnaissable mais jamais fixe, Freak City s’essayant à de nouveaux supports et techniques à chaque fois que sa curiosité le pique au vif.
Des dessins à l’encre de chine ou la sérigraphie textile et papier, on peut le voir maintenant évoluer sur fresque, toiles ou volumes.

– LL COOL JO :
Llcooljo, 30 ans, récupère, détourne, recycle, colle, tatoue, dessine et invente de ses mains avec les matériaux les plus pauvres et les outils les plus simples un monde. À la fois tendre et étrange, sombre ou joyeux, débordant toujours, saturé de couleurs, de signes, d’images, d’énergie, son travail est toujours spontané, explosif et diablement inventif. Point de tracé préalable ni d’idée préconçue ; lui-même ignore toujours ce qu’il s’apprête à illustrer ou à écrire. Seule revendication : point d’école, autodidacte pour commencer et autodidacte pour finir. Son travail jaillit tout droit de son propre fond et non des poncifs de l’art classique ou de l’art à la mode. Ses oeuvres sont toutes imprégnées d’influences diverses, d’abord son grand frère qu’il imita depuis tout petit et par qui est venu le plaisir de crayonner, puis les peintres mexicains comme Frida Kahlo ou Guadalupe Posada et leur danse avec la mort, l’esthétique punk, la culture skate, la BD indépendante, le graffiti brésilien pour son trait sauvage sans préoccupation esthétique aucune, l’imagerie religieuse si délicieusement détournable, l’ésotérisme, le vaudou, Bukowski l’ivrogne instable et chaotique…et autres expressions de l’art brut ou du metal. Il tourne en même temps que ses œuvres dans toute l’Europe : Danemark, Italie, Belgique, Hollande, Espagne, Autriche, Angleterre et même au Brésil.

www.phenum.com
www.dmagalerie.com

Circles présente le concert de BILLY ZE KICK (Préventes Fortement conseillées) – Vendredi 4 Avril à partir de 20h – Lieu: Marquis de Sade, 39 Rue de Paris, Rennes 

Le Collectif Circles présente le Concert de Billy Ze Kick, au Marquis de Sade à Rennes le vendredi 4 avril, entrons dans la 5ème dimension avec Billy Ze Kick , dansons pour la vision d’un monde meilleur !

Open Mic à l’Institut franco-américain #2 – Vendredi 4 Avril à partir de 20h – Lieu: Institut Franco Américain, Rennes 

L’association Youpsâ vous propose son second Open Mic. Amateurs de musique américaine, armez-vous de vos instruments et venez vous rencontrer et partager un moment convivial autour de quelques chansons originales ou de standards de la musique made in USA.

S’il Te Play Party – Vendredi 4 Avril à partir de 21h – Lieu: Bar La Cité D’YS + MOON STATION, Rennes

La prochaine soirée SILTEPLAY se déroule en deux parties dans deux lieux très proches, mais très différents:

DE 21H00 à 0h30 au Bar LA CITE D’YS:

Rock & Funk!
AJAX TOW (Stereophonk, LordParamour)
Ajax Tow mélange bootleg alliant la soul, le rock, et l’electro, convertissant même les originaux en remixes très dancefloor… C’est en pur blind-test que vous bougerez votre popotin sur la grande bleue musicale, qui sera la note ultime à l’ivresse du break-dance… Alors smurfez, breakez, groovez jusqu’à épuisement…

EDITH PRESLEY:
Edith Presley, fille d’Emilien Presley, sosie officiel du King dans la région de Fourqueux (78) se fait remarquer il y a quelques années au festival de Cannes. Vendeuse de frites à son compte, c’est en passant du twist dans sa caravane ambulante qu’elle se fait remarquer en faisant danser ses clients…

DE 23h00 à 2h30 au MOON STATION:

MOOD vs KLNR (pulse)
KLNR est un jeune DJ basé à Rennes.
Mélomane averti, il découvre la musique électronique durant ses années lycée. Il traque avec ferveur les sorties, et s’oriente rapidement vers la house et la techno.
En 2012, il s’essaie au Djing et se découvre un réel engouement pour l’autre côté des enceintes.

Fin 2013, il fonde Pulse Msc, nouvelle association rennaise, destinée à rythmer un peu plus la vie des amateurs de house et de techno.Il décide dès lors de se lancer sur la scène rennaise et fait ses preuves lors des soirées Charity et Nu School.
Inspiré par des labels percutants comme Ilian Tape, Sleaze Records ou encore Drumcode, KLNR partage ses coups de cœur musicaux lors de DJ sets d’une rare intensité

Mood est un jeune dj breton émergeant. Il est l’un des piliers fondateurs de la nouvelle association Pulse Music, organisation de soirées Techno dans la ville de Rennes.
Il allie en tant que dj, house et techno dans un style qui lui est propre. Une house planante mais efficace qui se rapproche d’artistes comme Urulu, mêlée à une rythmique techno profonde et envoutante, laquelle nous fait penser au berlinois Delta Funktionen, ainsi qu’au prodige d’Underground Resistance : Robert Hood.

E-RUNNER (silteplay)
Ce dj activiste de SILTEPLAY distille une techno cyclique, appuyée et dancefloor.
E-runner est influencé par les maîtres de Detroit, Manu le malin, l’univers de Hr Giger et la SF.

ACID’ACTION PART.2 – DJ SET – Samedi 5 Avril à partir de 20h – Lieu : Before Bar, Rennes 

ACID’ACTION est une soirée organisée par les étudiants en communication de l’AFTEC RENNES, dans le cadre du Sidaction.

Le Weekend du Sidaction aura lieu du 4 au 6 Avril Esplanade Charles de Gaulle, où vous pourrez retrouver de nombreuses animations, notamment du SAUT À L’ELASTIQUE.

DE KIFT et GUZ II – Samedi 5 Avril à partir de 20h30 – Lieu: Antipode Mjc, Rennes 

Issu de la vague punk des années 1980, DE KIFT est unique en son genre. Cette fanfare hollandaise au caractère fellinien, dépasse les limites du jazz et de la noise et se partage entre musique traditionnelle et rock.

DOOINIT – EXPANSION TEAM – DJ DEHEB -DJ B.LOO – Samedi 5 Avril à partir de Minuit – Lieu : Ubu, Rennes

Le célèbre duo californien EXPANSION TEAM SOUNDSYSTEM (DJ BABU & RAKAA of Dilated Peoples) offrira une performance de haut niveau entre rap et Djing. Rakaa et Babu (et Evidence) connus sous le nom de Dilated Peoples, c’est quatre albums à succès acclamés par la critique et des collaborations avec Dj Premier, Kanye West, Talib Kweli… Beatmaker et DJ français, DEHEB a travaillé avec les meilleurs danseurs hip-hop au monde, en tant que membre du duo funk/abstract hip-hop « Funky Bijou ».

B.LOO, incontournable DJ sur la scène nantaise et initiateur des soirées Soul Clap, nous prépare une sélection de tueries hip-hop remixées à grands coups de scratch et passe-passe. Une excellente soirée en perspective !

DANYEL WARO – Samedi 5 Avril à partir 20h – Lieu: Ubu, Rennes

Ses passages aux Trans en 1999 puis en 2003 aux côtés de Titi Robin, font partie des souvenirs les plus émouvants du festival. DANYEL WARO est la voix de la Réunion, celle des temps anciens quand les noirs vivaient encore dans les fers de l’esclavage. Porte-voix du maloya – une sorte de blues, entre danse extatique et chant rituel sur fond de percussions de fortune – Waro se défend de moderniser cette musique ancestrale (il fabrique lui-même ses instruments) et reste attaché à la pratique traditionnelle de son art. Un gage d’authenticité. 

La passion de Clémentine débute à l’âge de 14 ans, alors qu’elle passe devant une vitrine d’un bijoutier-joaillier. Elle a alors un véritable coup de cœur pour les bijoux, qui se confirmera plus tard par son orientation professionnelle. En 2012, installée à Rennes, elle lance sa marque éponyme. Tout est réalisé à la main, et Clémentine propose des pièces uniques. Aujourd’hui la créatrice est installée à Brest et propose des des collections douces et délicates qui se déclinent en bagues, bracelets, colliers et boucles d’oreilles…

Peux-tu revenir sur ton parcours ?

J’ai fait plusieurs diplômes spécialisés en « art du bijou et du joyau » et j’ai achevé ma formation par un DMA en 2011 (Diplôme des Métiers d’Arts). C’est difficile d’accéder à cette branche, il y a très peu d’écoles en France, mais je tenais à faire un DMA afin de pouvoir m’orienter vers les bijoux contemporains, j’avais envie de développer des collections et d’apprendre à créer par moi-même.

Ta marque porte ton nom…..

C’est un choix qui ne s’est pas fait au hasard. Je n’ai pas été chercher très loin, car je l’ai appelé comme moi… une sorte de prolongement de moi-même ! Car en effet, je mets dans mes bijoux tout ce qui est à l’intérieur de mon esprit, de mes pensées, de mes sentiments. Cette marque, c’est moi. Et puis, ce nom n’est pas éphémère, il est représentatif des bijoux que je confectionne : intemporel !

Peux-tu nous parler de tes différentes collections ?

Aujourd’hui, sept collections ont vu le jour : « Petites Bulles », « Goutte », « De fil en aiguille », « Bouton d’argent », « En cage », « Love », « Louise » et bientôt une nouvelle collection (elle sera empreinte de savants mélanges de textiles et d’argent). Tout en créant, j’ai toujours de nouvelles idées et l’envie de créer de nouvelles collections.

Tes bijoux mêlent matériaux précieux et tissus ?

Je travaille l’argent et le plaqué or qui sont parfois assemblés avec du tissu. J’utilise ce procédé pour rendre les matières brutes moins froides, je les choisis dans l’air du temps, je couds également du fil de couleur sur de l’argent ça leur donne un petit plus artistique.J’utilise également le brossage et reperçage pour donner à mes bijoux un style propre.

Depuis septembre, tu es désormais à Brest ?

Oui je viens d’ouvrir une boutique avec plusieurs créateurs, nommée « Tilt. ». Je concrétise un rêve de gamine à l’âge de 25 ans, j’ai le sentiment que mes projets sont en train de réellement prendre forme, c’est magique !

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Mëtsa est une marque française de montures de lunettes dont l’originalité réside dans l’utilisation du bois comme matière première. Suite à un voyage en Finlande, Clément Goude et Pierre Lecuyer se sont intéressés aux tendances et au design caractéristique de ce pays. Créée en 2013 par les deux jeunes bretons, la marque Mëtsa (Forêt, en finnois) propose un concept avant-gardiste de modèles de lunettes faites main, associant esthétisme, modernité et authenticité. « Il y a du design dans la nature »

Quels sont les points forts de la marque ?
Leurs designs novateurs, d’inspiration finlandaise, reflètent le confort de vie nordique si proche de la nature. Les bois utilisés pour les montures sont : le bois de rose, d’ébène, ou encore de poirier.

Où pouvons-nous trouver des lunettes Mëtsa ?
Vous pouvez retrouver nos modèles chez Atol Villejean et Saint Grégoire, à Réforme, Sunooptik à Rennes et à Optic Lab à Saint Malo.

Un petit mot sur votre nouvelle collection ?

Pour les prochaines collections, nous travaillons sur plusieurs pistes. Une collection optique, made in France, qui devrait voir le jour cet été et qui sera réalisée par une designer réputée dans le monde de l’optique. Nous travaillerons le bois de façon plus brute et apporterons une palette de couleurs inspirée des éléments et de la nature.
De plus, nous présenterons notre collection solaire, printemps/été 2014, 100% bois.
Enfin et toujours dans le cadre des solaires, ce Brunch des créateurs sera l’occasion pour nous de présenter les prototypes d’une première mondiale, 100 % made in Ille-et-Vilaine…

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Joïka est une jeune marque de bijoux qui a vu le jour en septembre 2011. Derrière Joïka, on retrouve Sandrine de la Sayette qui a transformé son passe-temps en véritable art de vivre. Cette jeune étudiante de LISAA (école supérieure d’arts appliqués) a fait mûrir son projet au fil du temps. Patiente, délicate et raffinée, Sandrine affine chaque jours un peu plus son style.

Quelles sont tes inspirations ?
Je dirai la vie autour de moi, mon quotidien, les gens qui m’entourent!

Comment définirais-tu tes créations ?
Le plus important pour moi, est le fait que mes bijoux reflètent la personne qui les porte. Parfois simples et minimalistes, parfois chargés et imposants, je souhaite avant tout que les gens puissent se reconnaître à travers mes créations.

Et les points commun entre toutes tes pièces ?
La couleur, l’ethnicité et le chic. Ces bijoux vous suivront longtemps, comme des grigris que l’on chérit et que l’on porte amoureusement.

Un petit mot au sujet de la nouvelle collection ?
La nouvelle collection, DAISY, sera chic et fruitée. Une alliance de douceur poudrée et d’imprimés forts. Cette ambiance envahira pochettes et petits accessoires d’été. La couleur majeure sera le rose poudrée pour le plus grand plaisir de ces dames. Une collection de bijoux délicats et féminins.

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