Créée en 2009, Juliette Et Pi c Tout est une marque de vêtements et d’accessoires pour enfants. Juliette propose des habits pour les tout petits, de 0 à 3 ans, mais également pour les plus grands. Les matières naturelles employées comme le lin, le coton, ou encore la laine, remplissent ces pièces de gaieté et de délicatesse. Chaque vêtement est unique et conçu par Juliette et ses doigts de fée. A découvrir sans faute au Brunch des Créateurs !

Qui se cache derrière Juliette Et Pi c Tout ?

Une femme de 40 ans, maman de trois enfants. J’ai effectué cinq années d’études dans la création et fabrication de vêtements sur-mesure, habilleuse et réalisation de costumes de théâtre. J’ai donc travaillé dans le domaine du tissu et de tout ce que l’on peut faire avec : vêtements, accessoires de mode et de décoration.

Depuis quand la marque existe-t-elle ?

La marque existe depuis 2009, elle a débuté avec des petites poupées broches pour ensuite évoluer vers le vêtement d’enfant.

Pourquoi de la création pour enfant ?

Car c’est un univers que je côtoie tous les jours et la naissance du petit dernier n’a fait que nourrir ce projet qui me tenait à cœur depuis bien des années !

Comment sont fabriquées les pièces ?

Je fabrique toutes mes pièces, une à une, dans mon petit atelier de Chartres-de-Bretagne.

Quelles sont tes inspirations ?

Les tissus que je choisi sont peut-être le départ du modèle, selon l’envie du moment.

Trois mots pour décrire la marque ?

Coloré, pratique et malicieux.

Qu’attends-tu du Brunch des Créateurs ?

Faire connaître « Juliette et pi c tout » un peu plus et rencontrer d’autres créateurs pour échanger sur divers domaines !

Site

Nostalgique des belles découvertes faites aux Bars en Trans ? Réjouissez-vous, jeudi soir au 1988 Live Club, on se replonge dans l’ « inditronica » captivante du quatuor belge Pâle Grey. Si le terme imaginé par les quatre belges a du mal à résonner dans vos oreilles, pas de panique… Laissez-vous guider par leur pop emprunte d’abstract hip hop et d’électronique jeudi soir. C’est toujours un peu barbare ?

CADEAU : Comme on a eu l’occas’ de boire quelques bières avec eux en novembre dernier, on s’est dit qu’on allait rebalancer l’interview qu’on a faite dans l’espoir secret de se faire payer des bières, belges, cette fois… Et puis pour ceux qui sont passés à côté, c’est pas mal non plus. D’autant plus que depuis les Bars en Trans, l’album Best Friend est enfin sorti en France depuis le 17 février !

Interview @ Bars en Trans

Pour commencer, pouvez-vous vous présentez, vous et votre groupe ?

Maxime On représente le groupe Pale Grey, on est belge, originaire de la région de Lièges. A l’origine, on était un duo, Gilles et moi quand on a commencé à composer. On vient d’une petite ville à la base un peu reculée par rapport à Lièges, une ville où il n’y a pas beaucoup d’amateurs de musique et donc quand on s’est rencontré on devait avoir 13/14 ans, on était vraiment ravi de découvrir que dans notre petite ville il y avait moyen de rencontrer quelqu’un qui écoute plein de disques, qui adore découvrir des musiques. On avait la même passion, on a commencé à s’échanger des disques et on a commencé très vite à faire de la musique. On a débuté tous les deux dans des premiers groupes, le projet Pale Grey est né il y a quatre ou cinq ans.

Vous avez donc démarré ce projet à deux..

Gilles Oui voilà c’est ça, on était avec guitare basse et un ordinateur, il n’y avait pas de chant à l’époque, on voulait vraiment se rapprocher d’un style un peu, moitié hip-hop moitié post-rock. Même si  c’est pas forcément des styles qui se rapprochent.

Maxime Puis c’est en évoluant qu’on a rajouté des choses quoi, la voix est venue plus tard et au bout d’un moment l’ordinateur n’a plus suffi, c’est comme ça qu’on a rencontré les autres aussi, Yann qui est venu au clavier, on s’est vraiment entouré de beaucoup de clavier analogique pour avoir des sons plus chauds etc., et puis Ben qui est venu à la batterie pour vraiment rajouter de l’énergie live. Ce qu’on avait beaucoup de mal à avoir juste avec un ordinateur. On a travaillé sur toute l’année 2012 et une partie de l’année 2013 à enregistrer notre premier album, Best Friends, qui est sorti il y a quelques mois en Belgique et qui va sortir en France le 17 février.

Pour revenir sur votre style musical, vos influences, vous m’avez parlé d’un mélange de hip-hop et post-rock à vos débuts, comment vous qualifieriez-vous aujourd’hui ?

Gilles Nous on appelle ça de l’inditronica

Maxime C’est un peu un mot barbare mais ouais, c’est vraiment ça. Une sorte d’indie rock, indie pop on va dire mélangée avec un peu de post rock, un peu d’électronique, on est beaucoup influencé par l’électronique, l’abstract-pop.

Donc des premiers pas plus hip-hop, même rock et c’est en rencontrant les autres membres que vous avez évolué ou ce « virage » s’est fait avant ?

Maxime  Mais attention, hip hop c’est vraiment abstrait, on a jamais eu de MC, on a jamais su rapper mais on a toujours été fans de label comme Anticon et des choses comme ça qui sont vraiment des labels où il y a plein d’artistes qui nous influencent beaucoup. Why par exemple, 13 & god, Themselves… Y a Son Lux, enfin il a changé de label mais il vient de sortir un dernier album qui est vraiment une tuerie.

Et en ce moment, qu’est ce qu’on peut trouver dans  votre mp3, ou vos vinyles ?

Gilles On écoute beaucoup de Alt j , foals pour les plus connus, Metronomy.

Maxime Moi j’écoute encore pas mal de post-rock.

Gilles Ouais  des groupes comme Explosion In the Sky, Mogwai.

Comment s’est passé la rencontre avec le reste du groupe ?

Maxime En fait on les connaissait déjà plus ou moins. On cherchait un claviériste et Yann, qui est un peu plus jeune que moi, je l’ai rencontré lorsque j’étais son chef au Patro, c’est un mouvement de jeunesse en Belgique un peu comme les scouts, donc je le connais depuis des années.

Ça fait à peu près 4 ans que vous tournez tous ensemble ? Comment se passe les concerts, la tournée ?

Gilles Oui voilà c’est ça, 4 ans, jusqu’ici c’est génial parce que ce sont les premières grosses scènes que l’on fait.

Maxime On est toujours sur la marche de la découverte, et considérés comme tel partout. C’est une chance parce que le public est frais en face de nous, ne nous connaît pas et n’a pas d’a priori, surtout quand on va à l’étranger.

Gilles En fait on avait sorti un premier EP en 2011 en Belgique et avec ça on avait quand même pas mal tourné.

Maxime Mais on était pas passé en radio donc on avait eu une couverture médiatique, mais pas  énorme en Belgique. On a beaucoup joué mais notre musique est restée dans des cercles assez fermés, d’amateurs de musique vraiment purs et durs. Avec cet album, les médias l’on bien mis en valeur, on a eu une grosse couverture, notre single est beaucoup passé en Belgique sur de nombreuses radios. Les choses se sont très fortement accélérées pour nous, il y a eu un chouette enthousiasme  des programmateurs ce qui fait qu’on a beaucoup joué en Belgique et puis il va sortir chez vous, ainsi que dans tous les pays limitrophes, Angleterre, Pays-Bas, Allemagne, Suisse, Italie…

Vous arrivez à composer même en tournée ?

Gilles C’est un truc qu’on fait en permanence. On a toujours eu notre façon de composer, qui était à chaque fois de notre côté. On amène une idée, on bidouille pas mal sur nos ordis à la base ou avec nos instruments respectifs chez nous. On les conserve, on  les retourne, on les envoie par mail aux autres, ils y retravaillent et puis au moment où l’on se sent prêt de vraiment commencer à fixer tout ça on se remet au travail. Là on a pas encore commencer cette phase, mais les morceaux, qu’on le veuille ou non, sont présents.

Maxime Oui on a un emploi du temps assez chargé, on a pas eu l’opportunité de retravailler à fond, on a été beaucoup sollicités et comme lors de sessions acoustiques on aime refondre les morceaux, essayer de leur donner une nouvelle vie en les réadaptant complètement, ça prend quand même pas mal de temps. C’est comme recomposer un morceau, on garde juste la ligne d’accords, si l’instrument est une guitare, on essaie de prendre un autre instrument et de voir comment ça sonne avec un clavier par exemple, ou n’importe quoi.

Gilles De toute façon la manière dont on compose elle impose ça parce qu’on ne se donne pas spécialement de limites en termes de choix d’instruments et de choses pour figer un morceau et l’enregistrer. C’est seulement une fois enregistrer qu’on se pose la question « comment Est-ce qu’on va le présenter en live ? », et alors là on réapprend le morceau presque de zéro, presque comme si on faisait une reprise. C’est un exercice qu’on adore faire.

Le fait d’accueillir des nouveaux membres au sein du groupe s’est-elle  faite naturellement, « au gré des rencontres », ou pour répondre à un besoin ?

Maxime On voulait s’entourer parce qu’on avait des envies live.

Gilles On sentait bien qu’il fallait une énergie pour plus de concret, plus d’humanité et se sentir plus entourés.

Maxime Oui, on se sentait un peu seul dans le live juste à deux, avec l’ordi, il n’y a rien à faire ça restait assez contenu. Alors que maintenant en live c’est beaucoup plus énergique, à deux c’est plus compliqué de le faire, surtout notre style de musique. Le fait d’avoir une batterie, en plus notre de batteur Ben il donne de sa personne quand il joue ! Les claviers avec Yann qui est passionné de ça, il adore chipoter avec des sons, enfin tout se met très bien ensemble. Ils ont vraiment pris une part à part-entière dans la composition, et dans tout quoi.

Gilles On s’amuse mieux à 4, on aime bien pouvoir travailler de façon très équivalente, on essaie de tous pouvoir avoir toujours notre mot à dire, de tous s’investir dans chaque aspect du groupe. On favorise vraiment ça, on est très demandeur de confronter nos idées, se renvoyer la balle, tout ouvrir en permanence et se faire violence pour que tout le monde soit content et satisfait.

Vous avez sorti combien d’EP, depuis le premier où vous n’étiez encore que tous les deux ?

Gilles On a donc sorti un premier EP tous les deux en 2011, enregistré à la maison, tous seul. Une fois que l’EP était fini, c’est là que les nouveaux membres nous ont rejoint.

Maxime On a défendu cet EP sur scène à 4, sur Best Friends, le nouvel album, le processus  a changé puisqu’on l’a composé tous les 4.

Pour revenir aux Trans, vous en aviez déjà entendu parler ?

Maxime Moi j’étais déjà venu avec un autre groupe, que j’ai toujours. Parce qu’en fait on est tous des passionnés de musique et on a besoin de pouvoir s’épanouir dans des styles différents. Je compare toujours ça à un sportif qui aime autant jouer au football qu’au tennis ou autre… Et donc voilà, je suis dans un autre groupe qui s’appelle Dan San et qui est venu jouer ici en 2009.

Gilles Moi je  n’étais jamais venu aussi loin pour voir un concert.

Vous restez les 3 jours ?

Gilles Moi et le reste du groupe on rentre demain.

Maxime Moi pas, je reste encore demain mais en tout cas ce soir on a envie de faire la fête. J’ai un très très bon souvenir d’il y a 4 ans, où on a vraiment fait la fête comme des fous et on compte bien en profiter.

Gilles Faut pas se cacher, on fait aussi ça pour ça ! On adore aller rencontrer des gens que l’on ne verra plus jamais de notre vie…

Maxime On reste des grands fêtards, chez nous on est grillés, il faut aller ailleurs !

Pâle Grey c’est demain soir au 1988 Live Club avec les néozélandais de Popstrangers, dans le cadre des sessions Route du Rock !
C’est moins cher qu’un paquet de clopes, ou qu’un Macdo pour les non fumeurs… A bon entendeur !
A partir de 20h, 6€, au 1988 Live Club 27 place du Colombier.

Après quelques années dans le tumulte des défilés parisiens auprès de grands noms comme Claire Dupont, Stéphanie Muller revient sur Rennes pour créer sa marque, Lovelux.  Vêtements et accessoires mêlant street-wear et rockabilly, le tout avec harmonie. Inspirée par l’univers de The Virgin Suicides, la créatrice rennaise propose des sweat-shirts brodés, des tee- shirts floqués, des accessoires pour cols de chemises… Dans l’attente du 18 mai, Stéphanie s’est prêtée au jeu de l’interview !

Stéphanie peux-tu te présenter ?

Après une année préparatoire à LISAA, j’ai quitté Rennes pour partir vivre à Paris. Là, j’ai vraiment baigné dans le monde magique de la création. Dès mes études de stylisme à l’Atelier Chardon Savard, j’ai commencé à créer des minis collections. Puis j’ai travaillé dans une maison de couture pendant quelques années (Dice Kayek) pour laquelle j’ai créé des pièces, des accessoires. Á cette période j’ai pu participer à de formidables défilés. J’ai croisé sur mon chemin une femme extraordinaire, Claire Dupont, styliste et directrice artistique avec qui j’ai travaillé dans différentes maisons et qui m’a fait vivre de fabuleux moments. Elle m’a même soutenue lors de la présentation de ma première collection au Who’s Next.

Que relève le nom loveLux ?

En ce qui concerne loveLux, j’ai choisi de donner ce nom à mes créations après avoir vu le film The Virgin Suicides. Lux étant le prénom de l’héroïne du film. J’adore travailler avec mes mains, j’ai pas mal d’imagination, je pense être assez observatrice et je crois que la création me permet de regrouper et de retranscrire tout ça. En plus de la création de vêtements, je travaille pour un studio photo, Lip Studio – (qui a d’ailleurs réalisé le visuel du brunch) – en tant que styliste photo. Je travaille également pour un site de vente en ligne de vêtements pour enfants pour lequel je réalise des visuels.

Quelles sont les caractéristiques de tes créations ?

Je fais aussi bien des vêtements que des accessoires et tout est édité en micro-séries ou pièces uniques. Depuis quelques temps, je me suis mise à broder des petits mots sur des sweat-shirts, des tee-shirts, ou des têtes de mort mexicaines sur des coussins.

Quelles sont tes inspirations ?

C’est assez divers. Mon univers puise son inspiration aussi bien du street-wear, du hip hop que du rockabilly. J’aime également m’inspirer de l’iconographie du tatouage old school ou de l’univers éthéré de The Virgin Suicides.

Un petit mot sur la collection que tu vas présenter au Brunch des Créateurs ?

Il y aura des petits caracos à pois, des sweat-shirts brodés, des tee- shirts floqués, des accessoires pour cols de chemises, des pin’s en résine, des badges, des bracelets… Rien d’extravagant, toujours des pièces « portables » pour loveLux mais avec un petit détail décalé ou fun.

Qu’est ce qui te plaît dans le Brunch des créateurs ?

Ce qui est super c’est qu’il va regrouper des personnes qui s’attachent au « fait main » que ce soit au niveau des exposants ou des visiteurs. On va exposer nos créations tout en accueillant le public dans une ambiance cool et détendue alors merci Rennes à Coup de Cœur !

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Rennes à coup de cœur vous propose une sélection des rendez-vous musicaux et artistiques à ne pas manquer cette semaine (du 14 au 20 Avril).

Vernissage Mise en Art #1 – Mardi 15 Avril à partir de 19h30 – Lieu : Crij Bretagne, 4 Bis, Rennes 

Toute l’équipe de Mise En Art vous invite pour un premier vernissage dans la Galerie du 4 Bis le mardi 15 avril à partir de 19h30. L’équipe vous présentera des artistes de tous genres sélectionnés par leurs soins qui vous proposeront un panel d’œuvres remarquables ! Vous jonglerez entre œuvres graphiques et œuvres numériques, tout en passant par une performance de bodypainting…

Deltron 3030 – Mardi 15 Avril à partir de 20h – Lieu : L’Ubu, Rennes 

Supergroupe formé par le producteur Dan the Automator (Gorillaz) avec le rappeur Del the Funky Homosapien et Kid Koala, Deltron 3030 fut d’abord l’occasion d’un premier concept album éponyme sorti en 2000, projet aux multiples collaborations dont celle du français William Sheller.
Après de nombreux rebondissements, le site Pitchfork dévoile enfin le second LP « Event 2 » en septembre 2013, sorte d’opéra rock hip-hop et épique à l’ambiance post-apocalyptique.

ANTHONY JOSEPH – DOPEGEMS – Jeudi 17 Avril à partir de 20h – Lieu : L’Ubu, Rennes

Débarqué de Port Of Spain, ANTHONY JOSEPH arrive à Londres au crépuscule des 80’s. Les débuts sont difficiles, mais il n’en démord pas. Aujourd’hui, devenu l’un des auteurs noirs les plus fascinants de sa génération, le temps lui rend enfin justice. Lequel d’entre eux pourrait se targuer d’enseigner l’écriture à l’Université de Londres tout en faisant chavirer les grandes foules des festivals aux quatre coins de la planète ? Son 5ème album Time s’entoure d’un décorum jazz parfois psychédélique, d’atmosphères rock assez intenses, ou d’un jam funk irrésistible façon Sly Stone. Jouer des reprises de jazz funk sans complexe, ni passéisme, avec une approche hip-hop dans le jeu mais aussi dans le choix des morceaux, tel est le principe de DOPEGEMS.

Pale Grey + Popstrangers – La Route du Rock  – Jeudi 17 Avril à partir de 20h – Lieu : 1988 Live Club, Rennes 

PALE GREY : Belgique • Jaune Orange • Indie Pop
Après avoir écumé les festivals de Belgique (Dour Festival, Nuits Botanique, BSF, Les Ardentes, …), Pale Grey s’exporte. Leur premier album Best Friends a séduit tant la presse que le public par son mélange d’indie pop, d’abstract hip hop et d’électronique. A la croisée des chemins entre Notwist, Alt-J, The Whitest Boy Alive ou Metronomy, Pale Grey propose un univers groovy, atmosphérique et éclectique emprunt d’une identité propre.

POPSTRANGERS Nouvelle-Zélande • Carpark Records• Indie Rock
Depuis leurs antipodes néo-zélandaises, ces Étrangers Populaires ont dû goûter pas mal de Supergrass. Désormais établi sur les bords de la Tamise, le trio s’affranchit de ses racines presque post-punk et intègre pop et psychédélisme dans la fraîcheur londonienne de ses disques. Ils ont récemment joué au festival Soy.

Sortie cu Clip Lord Paramour « Agamikal » feat. Naufalle Al Wahab – Jeudi 17 Avril à partir de 18h30 – Lieu: Rennes 

Lord Paramour est la rencontre singulière de deux activistes de la scène rennaise. D’un côté, DJ Marrrtin, graffeur, beat maker et meneur du prolifique label Stereophonk, connu autant pour ses instrus jouées sur les plus grands plateaux de break dance, que ses collaborations remarquées avec Atom de C2C, Robin Mc Kelle ou encore les Nubians.

De l’autre Ajax tow auteur d’un deuxième album abouti aux influences d’abstract hip hop et de rock indé, loup blanc de la scène indé rennaise trimbalant sa pilosité luxuriante et ses mixes baroques aux quatre coins de l’hexagone.
Le tandem s’est forgé autour de leur goût évident pour Bollywoood, chacun apportant ses inspirations éclectiques. On trouve des influences à la pelle chez Lord Paramour du break, du hip hop, de la soul, du disco, du rock indé, du downtempo, de l’electro, du kraut rock…
Le tout n’étant jamais la somme de ses parties le résultat est un masala de beats et d’ambient groovy et sexy. Une musique élégante et débraillée, un joyeux charivari lumineux et coloré. La B.O psychédélique d’une vie pimentée et aventureuse, celle qui fit, en son temps, la renommée de Lord Paramour.

ELLE EST MATHOPHILE ! – Jeudi 17 Avril à partir de 20h30 – Lieu : Le Diapason, Rennes 

Elle est Mathophile
Un solo comique en chansons sur les joies et les affres de l’apprentissage des maths.
Elle, c’est une prof de maths. Au départ, plutôt vacharde : pas droit à l’erreur ! Exigeante, consciencieuse, elle est convaincue que ses élèves vont lui donner du fil à retordre. Pour ceux qui n’arrivent plus à suivre, c’est le parcours du combattant. Alors, intriguée par ces cas d’allergie manifeste à sa passion, elle les accompagne, ces cabossés des maths : par devoir bien sûr… et aussi par curiosité.
C’est ainsi que, petit à petit, son propre rapport à sa « discipline » va évoluer. Elle va enfin s’autoriser à concilier les maths avec… l’humour ! Mais aussi le droit à l’erreur, la subjectivité. Bref, l’humanité qui est en elle !

Conférence de Christophe Brault : DAMON ALBARN et LE MOUVEMENT BRITPOP – Jeudi 17 Avril à partir de 20h30 – Lieu : Antipode Mjc, Rennes 

Concert organisé dans le cadre de la résidence du DEM Musiques Actuelles Amplifiées du Conservatoire de Rennes

Né à Londres en 1968, DAMON ALBARN est déjà considéré par certains comme faisant partie des « artistes ayant contribué à changer l’histoire de la musique ». Parolier et compositeur précocement doué, il fut d’abord le chanteur du groupe phare de la britpop Blur, mais son goût pour l’expérimentation allait rapidement l’entraîner à explorer d’autres voies musicales.

Avec le groupe virtuel Gorillaz il gagne ses galons de compositeur de référence des musiques actuelles, abolissant de nouvelles frontières musicales et artistiques. Il collabore depuis avec les plus grands, tels Mick Jones et Paul Simonon (The Clash), ou encore le co-créateur de l’afrobeat Tony Allen. Son amour premier allant à la musique classique, il a également exploré les voies de l’opéra avec des créations transcendant avec aisance les styles et les époques.

Avec lui, c’est tout le courant de la musique britannique des années 1990 et 2000 qu’explorent et se réapproprient les étudiants de dernière année du département Musiques Actuelles Amplifiées, dirigé par Cédrick Alexandre, pour un concert de fin d’études placé sous le signe de la curiosité musicale.

EYJAFJÖLL – My Mind, Your Landscape EP – Release Party! –Vendredi 18 Avril à partir de 21h – Lieu: Le Bar’Hic, Rennes

Eyjafjöll fait sa release party le 18 Avril 2014 au Bar Hic ! L’EP My Mind, Your Landscape sortira en effet la veille, le 17 avril. C’est une sortie KdB Records/Pschent!!!

Pour les accompagner, Magnetic Days ouvrira les hostilités tandis que Rocky Love Fucker s’occupera d’ambiancer les interludes et clôturera la soirée avec ses pépites électro indie techno!

François & The atlas mountains et AuDen (Dans le cadre du Festival MYTHOS) – Vendredi 18 Avril à partir de 20h30 – Lieu: Antipode Mjc, Rennes 

Entre pop-songs inclassables, orchestrations électroniques et arrangements empruntés aux musiques du monde, FRÀNCOIS & THE ATLAS MOUNTAINS livre à la France une de ses plus élégantes bandes originales. En mars, ce groupe en perpétuel mouvement continuera à faire bouger les lignes de démarcation entre les différentes chapelles musicales, en publiant son deuxième album sur le fameux label Domino. AuDen fêtera la sortie son premier long format, porté par une voix touchante, unefolk-pop aérienne gravitant au croisement de Bon Iver et Bashung.

FUNKY FRESH PARTY #7 – Vendredi 18 Avril à partir de 22h – Lieu : Le 1988 Live Club, Rennes

Tous les fans de funky dancefloors, hip-hop lovers et groove addicts pourront désormais se retrouver au 1988 Live Club, pour cette mensuelle de 22h à 5h orchestrée par DJ Freshhh ! Entouré de guests comme on les aime, DJs et live bands à vous en faire sourire les oreilles et déclencher votre fièvre dansante, pour libérer le funk qui est en vous !

DJS PSYCUT // WORLD WILD DJS // FRESHHH

Gute Party – Vendredi 18 Avril à partir de 21h – Lieu : Le Combi Bar, Rennes

Les p’tits bonhommes de la Gute corporation reviennent à nouveau chez Guillaume pour le grand bonheurs de vos tympans ! Ayant vagabondé légèrement entre la Chaumière, Nantes, et un passage éclair à Rock’n’Solex pour faire partager leurs sets, les Rennais de la Gute Corp investissent le combi le temps d’une soirée…

Du monde au bal con – Deep.Minimal.Techno.Acid. Juicytronics – Vendredi 18 avril de 21h à 6h – Lieu : à 25 minutes de Rennes.

Juicytronics vous invite à sa première édition *du monde au bal con* qui se déroulera dans une ancienne boite de nuit à 25 min de Rennes. Venez déguisez si vous le souhaitez.

Au programme :

– Mooly (Minimum Syndicat) :  https://soundcloud.com/mooly

– Menthine (Open Fader) : http://www.mixcloud.com/menthine/

– Unruhe (Midweek): http://www.hulkshare.com/unruhe

– Bretzel Juicytronics :  http://www.mixcloud.com/duardinyojuicytronics/

– Inzpector Tanzi : http://www.mixcloud.com/InzpectorTanzi/

Prévente : 5€, Bière bio, Club Mate et Punch à prix doux, Capacité Limitée : 200 personnes, petit parking: 60 places pour voitures (covoiturage conseillé).

Le lieu sera divulgué à tous les détenteurs de prévente.

Rennes à coup de cœur vous fait gagner 2*2 places pour la soirée.!
Envoyez un email à : contact@rennesacoupdecoeur.fr, objet : Du monde au bal con.

Prisma Circus + Brain Pyramid – Samedi 19 Avril à partir de 20h – Lieu : Melody Maker, Rennes 

Prisma Circus : En tournée en Europe occidentale pour la sortie de leur album « Reminiscences » sur le label World in Sound, Prisma Circus est un groupe de heavy psychédélique directement importé des années 60. Une basse chaude comme un moteur et une guitare solaire, soutenues par une batterie charismatique, vous enverrons en orbite.

Brain Pyramid accompagneront leurs confrères pour quelques concerts en France. Jouer à la maison est toujours un plaisir, surtout quand c’est pour accueillir bons amis … Un bon paquet de riffs fuzzy et d’ambiances spirituelles vous attendent au Melody Maker !

Les Oreilles de Jankev Vs Ajax Tow – Samedi 18 Avril à partir de 21h – Lieu : Le Chantier, Rennes

Les Oreilles de Jankev, plusieurs saisons, près d’une centaine d’émissions radio hebdomadaires.
Les Oreilles de Jankev ce n’est pas qu’une émission de radio, c’est aussi un Dj avec une selection musicale Hors pair, très groov’, puisant ses sources a travers le monde et aussi les rencontres dans le milieux du dancefloor…

Ajax Tow mélange bootleg alliant la soul, le rock, et l’elctro, convertissent même les originaux en remixes très dancefloor… C’est en pure blind-test que vous bougerez sur la grande bleue musicale, qui sera la note ultime à l’ivresse du break-dance…

DUB CORNER # 16 – ANTHONY JOHN – BREDRIN RECORDS – I.SKANKERS HI-FI – Samedi 19 Avril à partir de 21h – Lieu : Le Mondo Bizarro

ANTHONY JOHN (Jam)
Chanteur jamaïcain ayant fait ses débuts dans les années 90, Anthony John s’est fait connaitre dans le milieu sound system UK grâce à son style unique, capable de se poser aussi bien sur des riddims roots que stepper, et à de puissantes productions telles que le titre ‘Love And Pray’ sorti sur le label Blackboard Jungle ou encore le fameux ‘Trodding, Trodding’ sur Da1yah Records ! Il accompagnera
les 2 crews lors de la session pour délivrer son message positif !!! MILITANT VIBES A COME !!!

BREDRIN RECORDS (France)
Emmené par EK et BENJAHMAN, ce crew originaire de Dijon et basé à Paris, compose grâce à son inspiration musicale métissée de puissantes dubplates taillées pour le sound system ! Jouées notamment par le célèbre King Earthquake, leurs productions au style unique sont un véritable ouragan musical ! Ils présenteront donc leur travail de productions sorti de leur propre studio pour faire trembler les murs du Mondo Bizarro pour leur première venue dans l’Ouest ! GET READY !!!

I-SKANKERS HIFI
aka The Rootikal Dubwise Family
Diffusant une musique positive, consciente et dansante dans un esprit Roots & Culture engagé, le crew jouera ses sélections du Roots 70′ au Stepper UK et autres dubz exclusifs sur son propre systeme de son artisanal ! Ce sera l’occasion de faire découvrir aux massives les nouvelles productions à venir sur leurs label I-Skankers Records/Dubplate ! Adeptes des basses rondes et des sonorités steppa, COME INNA DI DANCE !!! SKANKING TIME !!!

ARITHMETIC OPEN AIR : Martin / Mioshe / Fox – Dimanche 20 Avril à partir de 15h – Lieu: Café des champs Libres, Rennes

Arithmetic est de retour sur la terrasse des Champs Libres pour un nouveau dimanche après-midi. Au programme : Martin, Mioshe et Fox.

Mioshe, illustrateur et street-artiste rennais se déguise de temps en temps en DJ aux tonalités multiples. Actif au sein du collectif Eumolpe depuis une décennie, il participe à l’émancipation de la scène club rennaise via l’association /RAW/. L’artiste se localise aux frontières du club et des musiques expérimentales. A la manière de la première sortie du Label Eumolpe « Thraces », la chimère musicale Mioshesque c’est un mélange surprenant d’ambient et field-recording, downtempo et techno, EBM, musique ethnique et house.

Martin est un éminent fouineur du Vercors électronique. Il fait ses armes sur Canal B avec ses potes d’Ost Berlin ou dans les rades rennais avec Midi Deux. Exilé à Paris, il crée avec un pote les soirées Bastion, terre promise de la house de qualité à Paris. Attaché à une deep moelleuse et mélodieuse, les plaques qu’il pose font mouche.

Nous sommes ravis de vous présenter Prune et sa marque, Les Petites Jupes de … Prune. Des jupes, rien que des jupes. Plissées, longues, courtes. Prune vous propose des créations pour tous les goûts. Du simple au plus original à des prix abordables. Les Petites jupes de Prune sont pleines de fraîcheur et de féminité. A découvrir au Brunch des Créateurs le 18 mai !

Qui se cache derrière Les Petites Jupes de Prune ? Quand la marque est-elle née ?

Gros scoop, derrière les Petites jupes de Prune se cache.. Prune, 26 ans et toutes mes dents ! Je me suis lancée dans l’aventure il y a deux ans, après une formation en stylisme modélisme à la Chambre syndicale de la couture parisienne et quelques expériences en freelance en bureau de tendance. L’idée de ne travailler que la jupe, mon vêtement préféré, est née autour d’un apéro un peu arrosé. J’ai commandé les étiquettes le soir même !

A quoi ressemblent les petites jupes de Prune ? A quoi les reconnaît-on ?

Les petites jupes sont reconnaissables grâce à deux petits boutons en nacres, discrètement cousus sur le coté des petites jupes à poches. J’avais chiné 1200 boutons vintage et ne savais pas comment les utiliser, l’idée est venue naturellement !

Pourquoi des jupes uniquement ?

C’est parti de ma collection de fin d’année où j’avais créé des jupes longues plissées, quelques copines voulaient me les acheter mais je ne réalisais pas que ça pourrait « vraiment » plaire. J’ai commencé une série et développé un modèle plus simple, plus à jour, avec des poches (pratique!) qui a aussi l’avantage d’être très transversal : je peux utiliser des tissus soir, imprimés, d’ameublement (…) bref il n’y a pas de limite !

Comment sont-elles crées ?

Je chine les tissus au gré de mes voyages, envies et coups de cœur pour faire des jupes en séries limitées, et je ne m’impose pas de limite : il y déjà eu une petite jupe « k-way », en taffetas de soie, en imprimés super kitsch… !

Quelles sont les valeurs des Petites Jupes de Prune ? Que souhaites-tu défendre à travers ta marque ?

La qualité à petit prix ! J’ai créé cette marque juste après mes années étudiantes, et je voulais vraiment permettre à toutes les filles de se les offrir ! Alors évidemment produire local, rester dans une démarche d’exclusivité, c’est aussi hyper important, mais le prix abordable était ma première contrainte!

Des indices sur la nouvelle collection ?

Des capsules de jupes sont annoncées tous les mois (du moins le printemps et l’été !), je préfère distiller des modèles que tout sortir d’un coup !

En quoi le Brunch des Créateurs te motive t-il ? Qu’attends-tu de cet événement ?

Rencontrer les rennaises et leurs envies !

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Il y a un mois, nous vous parlions du festival d’arts numériques et multimédia Bouillants, qui venait de dévoiler sa programmation. Laquelle ne pouvait que nous pousser à y aller. C’est chose faite. Nous avons eu droit à une présentation détaillée de chaque œuvre dans cet espace d’exposition si atypique qu’est l’ancienne laiterie Les Bouillants, à Vern-sur-Seiche. Petite sélection de nos coups de cœur et de ce que vous pourrez y découvrir.

« […]Bouillants réalise à nouveau cette année un espace façonné et libre dans lequel l’individu est invité à se questionner et à se comporter », peut-on lire dans l’édito du programme du festival Bouillants. Des questions, que le visiteur est amené à se poser à travers la thématique du Je(u). Le spectateur, petit ou grand, prend les commandes, la souris, la manette, le clavier et joue. A plusieurs ou seul, celui-ci est poussé à s’interroger sur ses comportements, au sein du jeu et au-delà : non, ces œuvres, ne sont pas qu’un jeu. Elles rappellent l’importance de nos actes et de nos choix dans la société.

De l’absurdité de nos comportements

Enfant, qui n’a jamais fait semblant de tirer sur quelqu’un, pour jouer ? Et croire, dur comme fer, que sa main était un pistolet ? L’artiste Vincent Ciciliato revisite ce geste et en fait le cœur de l’œuvre Tempo Scaduto. Vous êtes plongé dans la ville de Palerme, en pleine guerre des mafias dans les années 1980. Choisissez votre victime, visez, tirez. Tuez, jusqu’à trouver la bonne cible, laquelle vous fera découvrir, par une reconstitution vidéo documentée, le meurtre de cette victime. Une manière de prendre conscience de l’absurdité de l’acte, alors répété à maintes reprises.

Vincent CICILIATO – « Tempo scaduto » from Le Fresnoy on Vimeo.

Avec plus de légèreté, Rafaël Rozendaal vous propose de jouer à Finger Battle, une application on ne peut plus simple. Placé au milieu d’un ring de boxe, un smartphone. Les deux joueurs doivent tapoter le plus rapidement possible du doigt sur l’écran, dans le but d’empiéter sur leur territoire respectif, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un. Oui, c’est idiot. Seule la rapidité du doigt déterminera le vainqueur… Parfois, les choses les plus absurdes rencontrent un immense succès et sont d’une addiction surprenante.

Vigilance 1.0 n’est pas en reste, avec la possibilité de surveiller les différents quartiers d’une ville. Votre rôle : dénoncer. Plus vous dénoncer, plus vous gagnez. Martin Le Chevallier vous propose de vous interroger sur le sens de la malveillance, du délit et des comportements condamnables.

Testez votre culture du jeu numérique

Bouillants nous permet aussi de tester notre culture du jeu vidéo à travers le temps, notamment avec l’œuvre Game Border. L’artiste japonais Jun Fujiki nous fait voyager dans l’histoire du jeu vidéo. Faîtes parcourir votre personnage à travers les différentes époques des jeux vidéos : des manettes, au graphisme, en passant par les écrans. Retrouvez LA manette, LE jeu de votre enfance, votre petite madeleine en quelque sorte.

Revisitez également le karaoké avec Revolustar de Gaspard et Sandra Bébié-Valérian. Des images, un micro, du MP3 synchronisé. Jusqu’ici tout va bien. Mais vous allez vite comprendre que Revolustar vous teste sur le répertoire des chants partisans. Faites vous plaisir en chantant des paroles révolutionnaires sur un clip des Destiny’s Child. L’effet est plutôt marrant.

Bon aller, on ne vous en dit pas plus sur cette exposition. A part qu’il serait vraiment dommage de louper un tel événement. Et qui plus est, dans un lieu exceptionnel (un terrain de jeu à lui tout seul).

Festival Bouillants #06, Vern-sur-Seiche, jusqu’au 1er Juin 2014

Au Brunch des Créateurs, dimanche 18 mai, vous pourrez découvrir Tee of Life. Une marque de tee-shirts, sweats, vestes à capuche zippée, qui vient de fêter ses deux ans. Tee of Life, c’est avant tout une grande famille, éco-responsable, citoyenne et humaine. Les pièces de Tee of Life racontent toutes une histoire et nous font prendre conscience du poids de l’humain dans le processus de fabrication de nos fringues. En attendant de découvrir l’univers de Tee of Life au Brunch des Créateurs, petite présentation d’Hubert, le fondateur du projet.

Qui se cache derrière Tee of Life ?

Une famille. Tee of Life est une marque qui se définit à travers tout ceux qui contribuent à son identité. Les graphistes : Elodie Vaillant, Louisette Vermillon, labelouaquet, Gwladys Baumier, Juliette Pellereau, Docteur Paper et prochainement Appelle-moi papa. Le photographe, Michael Meniane, les modèles, le webdesigner, l’atelier de sérigraphie AIPI, le comptable, le banquier….

Il y a également ma famille, puis moi : Hubert de Heaulme, j’ai 40 ans, marié et père de 3 garçons, j’ai travaillé dans la presse, où j’exerçais le métier de chef de fabrication à Paris. Installé à Nantes depuis 3 ans, dans la ville d’origine de ma femme, pour y concrétiser ce rêve de gosse.

Quel est le concept de Tee of Life ?

Tee of Life est une marque empreinte d’humanité, car l’idée globale en créant ma marque était de positionner l’Homme au centre de l’entreprise. Au-delà de la qualité du support, je voulais un fournisseur textile qui me garantisse que mes produits seront « sweatshop free », c’est-à-dire qu’ils soient conçus dans des conditions humaines, et ça, ce n’est pas une sinécure ! Tee of Life, c’est aussi une marque locale qui ne collabore qu’avec des acteurs de la vie économique nantaise pour mieux les mettre en avant et participer au dynamisme de la région. Tee of Life est une marque qui vit par la rencontre, la relation, la confiance, l’efficacité, l’esprit collaboratif, voire collectif.

Que défend la marque ?

Avec la mondialisation et internet, nous savons dans quelles conditions inhumaines sont réalisées les vêtements que nous portons. Nous ne pouvons plus détourner notre regard de ces personnes victimes de l’esclavage moderne à l’autre bout de la planète dans des usines à sueur d’où proviennent 90% du marché textile. Consommer moins, mais consommer mieux : voilà ce que Tee of Life défend. La marque est née de ce désir de changement ; celui de veiller à ce que notre argent serve à soutenir des entreprises conscientes, éco-responsables, équitables qui ont une autre vision de la consommation.

Tee of Life, participe à la défense des Droits Humains en versant 10% des bénéfices annuels à l’ONG Amnesty International.

Trois mots pour décrire Tee of Life ?

ESSE QUAM VIDERI : Être plutôt que paraître. C’est la devise de la marque.

Qu’attends-tu du Brunch des Créateurs ?

C’est l’occasion de rencontrer d’autres créateurs. Depuis que j’ai crée Tee of Life, je rencontre des créatrices, des collectifs qui prônent la qualité et avec une exigence remarquable. Favorisons les initiatives locales ! Le Brunch des Créateurs est aussi l’occasion faire découvrir Tee of Life à tous les visiteurs et implanter la marque dans une boutique du centre-ville par le biais du réseau de créateurs présents.

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Le dimanche 18 mai, vous pourrez découvrir Reines, dont Camille et Vijaya sont à l’origine. Créée en 2013, Reines est un bureau d’idées, regroupant plusieurs collaborations, toutes situées dans l’univers de la mode, de la décoration, ou encore de la papeterie. Bref, que des jolies choses. En attendant de découvrir leur sélection pleine de douceur et de poésie au Brunch des Créateurs, petite présentation du concept.

Qui se cache derrière Reines ?

Nous sommes rennaises et trentenaires, comme on dit. Nous avons vécu dans d’autres villes mais nous sommes toutes revenues à Rennes.

Avez-vous effectué des études de stylisme ou autre, en relation avec le textile ?

On a des formations et des parcours en communication, graphisme et stylisme.

Reines en quelques mots ?

C’est un bureau d’idées, on aime imaginer des créations dans des univers différents comme la papeterie, le textile et même la décoration de table selon les saisons. On fait appel à nous aussi pour l’organisation, la communication et la décoration d’événements.

Ce qui définit la marque ?

Pas de contrainte, du ludique et de la fraîcheur !

Trois adjectifs pour qualifier la marque ?

Chic, cool, mignon !

Depuis quand la marque existe-t-elle ?

Les collaborations ont commencé en Septembre 2013, c’est récent !

Que défendez-vous à travers Reines?

On met en avant cette envie de travailler ensemble. Avec ces collaborations, on fait appel à notre entourage, notre réseau. C’est une manière d’être solidaire et équitable. On a envie aussi de montrer des choses jolies pour tous.

Que pensez-vous du Brunch des Créateurs ?

Avec le Brunch, on peut être en contact avec les rennais, les rennaises, avoir leur retours en direct sur nos idées. Reines présentera ses différentes collaborations, notamment avec Héros de France et Trop Gâté. Les visiteurs pourront découvrir des bijoux, des coussins, de la décoration de table ou encore de la papeterie.

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