Jeudi 28 Janvier 2016 au Bar’Hic 21H – 6 euros
Sauna Youth : première visite pour ce quartet anglais oscillant entre post punk, garage et indie rock survolté. Le groupe a réussi à trouver son chemin entre l’energie de Thee Oh Sees, la morgne de The Fall et les mélodies des Undertones.. Oui ce sont les même membres que le groupe Monotony, on n’est pas à l’abri d’avoir deux concerts en un..
DeeDee & The Maybees : trio indie rock influencé par Pavement, Built To Spill, REM qui saura vous étonner par sa verve mélodique..
Vendredi à 18h30 – Galerie du 48 – Exposition personnelle de Mélanie Villemot, avec une participation de Benjamin Collet sur la micro édition l’Exigu – Vernissage le vendredi 29 janvier à partir de 18h30 – Ouverture au public le 30 janvier de 14h00 à 18h00 et sur rendez-vous du 25 au 29 janvier
Let go est une incitation au lâcher prise par la « suspension consentie d’incrédulité ». Cette expression du poète Coleridge décrit l’opération mentale qu’effectue le lecteur ou le spectateur d’une œuvre de fiction qui accepte, le temps de sa consultation, de mettre de côté son scepticisme. Ici mise au regard de notre appréhension du monde en générale, elle désigne le désir de croire et les mécanismes d’aveuglément lucide qui nous permettent d’y parvenir.
Let go encourage ainsi non sans un certain désabusement à reconsidérer la valeur accordée à la vérité, et exhorte le spectateur à se détourner volontairement du monde considéré comme « réel ». Celui-ci est alors invité à se laisser couler dans l’univers pelliculé d’un paysage de carte postale : cocktail en bord de piscine et coucher de soleil sur la mer.
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Diplômée en 2014 de l’EESAB Rennes, Mélanie Villemot intègre l’atelier Vivarium la même année. Son travail, s’appuyant sur les relations qui unissent perception et construction de réalité, interroge le spectateur sur la valeur qu’il accorde à ce qu’il perçoit comme vrai.http://melanie-villemot.tumblr.com/
The Patriotic Sunday + Julien Gasc – Vendredi à 20h30 au 1988 Live Club, 27 place du Colombier, 35000 Rennes
the patriotic sunday (pop symphonique de poche, Nantes/Rennes) emprunte çà et là de très attrayants chemins mélodiques pour mieux en briser les lignes. Quelques-unes des lames les plus fines du marigot rock d’ici, débauchées notamment chez LA TERRE TREMBLE !!!, sertissent le disque de choeurs sophistiqués, y lancent lézards électriques, percussions obliques, claviers suspendus ou métal écorché de saxophones inattendus, mettant toute leur érudition cancre au service de ce projet toujours plus maboul et pourtant toujours plus digne et tenu : celui de rédiger disque après disque quelque chose comme un précis théorique ET intestinal de la pop moderne, charriant les chansons comme autant d’objets réflexifs, intimes, jouissifs et émouvants.
Leur nouvel album, « All I can’t forget » est disponible depuis le mois de septembre.
Julien Gasc (dandy pop lo-fi, Paris, également membre du groupe AQUASERGE) nous emmène, en solo, sur les quatre pistes d’une drôle de forêt à « géométrie variable spontanée » : tantôt punk naïf (pléonasme), tantôt prog rock fascinant (pas pléonasme) ; tantôt variété 70’s, presque toujours affectée mais recouverte d’un voile – c’est aussi cela, la philosophie lo-fi.
5 euros
Release Party – Samedi à 21h – Le Marquis de Sade, 39 rue de Paris, 35000 Rennes
Après un Match Aller sur la Capitale , Buddy est heureux de venir sur Rennes présenter la sortie cassette du split des amis The Flashers & The Bad Pelicans. Ils seront accompagnés des Abram pour un concert des enfers !
LINE-UP :
21h15 – ABRAM
22h25 – BAD PELICANS
23h10 – THE FLASHERS
THE FLASHERS (Post Garage / Rennes)
Jeune groupe de garagistes Rennais, ayant pour influences des groupes comme Black Lips ou The Cramps, ils viendront vous décrasser les oreilles avec des mélodies entêtantes et dansantes.
ABRAM (Heavy Psych / Tie & Dye Fuzz)
« Pop et catchy en studio, le trio Abram se mue en déferlante noise en live, portée par des claques comme Destruction Unit ou Lightning Bolt, sans faire semblant d’oublier les Oh Sees. »
BAD PELICANS (Svrf Pvnk / Paris)
Les Bad Pelicans sont un mélange original de surf culture et de punk rock influencé par la scène « South California » des années 70 qu’ils recyclent et mélangent à des références actuelles comme Bass Drum Of Death ou Ty Segall. De beaux jeunes gens enragés.
PAF : 3 euros
Artwork : Simon Redash Foureyes